DICTIONNAIRE DES DONNEES

Référentiel hydrogéologique

URI: http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1
Code Sandre: SAQ
Version:
Statut: Validé
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ALIAS DE L'ENTITE HYDROGEOLOGIQUE

Une entité hydrogéologique peut avoir un ou plusieurs noms d'usage employés localement. Il se distingue du libellé principal en ne se basant sur aucune règle de construction et en reprenant en intégralité le ou les noms d'usage.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/AliasEntiteHydrogeologique
AliasEntiteHydrogeologique

Liste des propriétés:

Une entité hydrogéologique peut avoir un ou plusieurs noms d'usage employés localement. Il se distingue du libellé principal en ne se basant sur aucune règle de construction et en reprenant en intégralité le ou les noms d'usage.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/AliasEntiteHydroGeol
AliasEntiteHydroGeol
Une entité hydrogéologique peut avoir un ou plusieurs noms d'usage employés localement. Il se distingue du libellé principal en ne se basant sur aucune règle de construction et en reprenant en intégralité le ou les noms d'usage.
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CARTE GEOLOGIQUE

Les cartes géologiques détaillées éditées par le BRGM sont à l'échelle du 1/50 000 ème pour les éditions récentes qui couvrent actuellement plus de 90 % du territoire métropolitain. Elles sont disponibles sous format papier, scanné et vecteur (moins de 30%). Une série plus ancienne existe au 1/80 000, mais certaines coupures sont épuisées (disponibles seulement en reproduction photographique assez onéreuses). De ce fait, quelques portions du territoire ne sont couvertes par aucune carte géologique détaillée disponible. Une série plus synthétique au 1/250 000 existe (format papier et scanné), mais elle concerne moins de la moitié du territoire (Nord et Sud-Est). Cette série remplace une autre, épuisée, qui était à l'échelle du 1/320 000. A ces cartes, s'ajoutent parfois des cartes géologiques synthétiques à l'échelle du 1/250 000 ème.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/CarteGeologique
CarteGeologique

Liste des propriétés:

Code attribué à chaque carte géologique à des fins d'identification au sein d'une même série (1/50.000, 1/80.000, ...). L'identification complète d'une carte s'effectue à l'aide de son code au sein de la série et du code de l'échelle de la série ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/CdCarteGeologique
CdCarteGeologique
Code attribué à chaque carte géologique à des fins d'identification au sein d'une même série (1/50.000, 1/80.000, ...). L'identification complète d'une carte s'effectue à l'aide de son code au sein de la série et du code de l'échelle de la série à laquelle elle appartient (cf. attribut : 'Echelle de la carte géologique') : - 1 (1/50.000) - 2 (1/80.000) - 3 (1/250.000) La liste des cartes géologiques est administrée par le BRGM Service Public qui en a la responsabilité.
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L'échelle de la carte géologique est le rapport entre les dimensions d'un objet géologique du territoire et celles de sa représentation sur la carte. Elle est décrite à l'aide de l'un des codes suivants et intervient dans l'identification de la ca...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/EchelleCarteGeologique
EchelleCarteGeologique
L'échelle de la carte géologique est le rapport entre les dimensions d'un objet géologique du territoire et celles de sa représentation sur la carte. Elle est décrite à l'aide de l'un des codes suivants et intervient dans l'identification de la carte qui peut avoir le même code pour des échelles de représentation différentes. Exemple : 230 - NANCY (1/50.000) 230 - TOULOUSE (1/80.000) Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°98. La liste des cartes géologiques est administrée par le BRGM Service Public qui en a la responsabilité.
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Nom de la carte géologique fournissant une indication sur la zone géographique qu'elle couvre. Il s'agit généralement du nom de la principale localité située sur la carte. La liste des cartes géologiques est administrée par le BRGM Service Public...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/LbCarteGeologique
LbCarteGeologique
Nom de la carte géologique fournissant une indication sur la zone géographique qu'elle couvre. Il s'agit généralement du nom de la principale localité située sur la carte. La liste des cartes géologiques est administrée par le BRGM Service Public qui en a la responsabilité.
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CARTE DE STRUCTURE

La structure spatiale de l’entité hydrogéologique est décrite sous forme de cartes de structures. Dans le cadre du référentiel hydrogéologique, ces cartes de structures sont stockées sous forme d'images (raster) avec des métadonnées associées : Date, type de cartes de structures, Origine,... Les types de cartes de structures sont les suivants : Nomenclature : Carte de structure d'une entité hydrogéologique / SAQ / 2002 - 1 ---------------------------------------------------------------------- Code ! Mnémonique ! Libellé ---------------------------------------------------------------------- 1 ! Isohypse du toit ! Isohypse du toit 2 ! Isohypse du mur ! Isohypse du mur 3 ! Isopaques ! Isopaques 4 ! Autres cartes ! Autres cartes ---------------------------------------------------------------------- Autres cartes : --------------- Tous les autres types de cartes utiles à la compréhension de la structure de l’entité. Par exemple, limite de salinité, … Isohypse du mur : ----------------- Lieu des points d’égale altitude - courbe de niveau - du mur de l’entité [Dictionnaire français d’hydrogéologie] Isohypse du toit : ------------------ Lieu des points d’égale altitude - courbe de niveau - du toit de l’entité [Dictionnaire français d’hydrogéologie] Isopaques : ----------- Lieu de points d’égale épaisseur, mesurée verticalement, de l’entité hydrogéologique, c’est à dire d’égale différence d’altitude entre le mur et le toit de l’entité ou la surface libre de l’entité. [Dictionnaire français d’hydrogéologie] Fin de la nomenclature

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/CarteStructure
CarteStructure

Liste des propriétés:

Année à laquelle a été publiée la carte de structure précisant la délimitation de l’entité hydrogéologique. Ce champ est renseigné uniquement par l’année de publication, sans précision du mois et du jour de réalisation

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/AnneeRealCarteStructure
AnneeRealCarteStructure
Année à laquelle a été publiée la carte de structure précisant la délimitation de l’entité hydrogéologique. Ce champ est renseigné uniquement par l’année de publication, sans précision du mois et du jour de réalisation
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Le type de carte de structure précise le type d’informations représentées sur la carte. Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°354.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/TypeCarteStructure
TypeCarteStructure
Le type de carte de structure précise le type d’informations représentées sur la carte. Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°354.
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L’origine de la carte est un texte précisant l’auteur ou les auteurs de la carte de structure. Il peut s’agir soit d’un organisme, soit d’un auteur précis. Dans ce dernier cas, il est recommandé d’indiquer l’organisme auquel appartient (ou appar...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/OrigineCarteStructure
OrigineCarteStructure
L’origine de la carte est un texte précisant l’auteur ou les auteurs de la carte de structure. Il peut s’agir soit d’un organisme, soit d’un auteur précis. Dans ce dernier cas, il est recommandé d’indiquer l’organisme auquel appartient (ou appartenait) le rédacteur.
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Le commentaire sur la carte de structure est un texte libre permettant de préciser toute information permettant une meilleure compréhension de la carte : limites d’utilisation, … Le commentaire permet d’indiquer l’existence d’une version vecteur d...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/CommCarteStructure
CommCarteStructure
Le commentaire sur la carte de structure est un texte libre permettant de préciser toute information permettant une meilleure compréhension de la carte : limites d’utilisation, … Le commentaire permet d’indiquer l’existence d’une version vecteur de l’image.
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cct:TextType

La carte de structure est la représentation sous la forme d’une image. Il s’agit d’une numérisation image (scan) de l’information. Du point de vue du stockage, l’image sera conservée dans un format TIFF compressé.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/ImageCarteStructure
ImageCarteStructure
La carte de structure est la représentation sous la forme d’une image. Il s’agit d’une numérisation image (scan) de l’information. Du point de vue du stockage, l’image sera conservée dans un format TIFF compressé.
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cct:BinaryObjectType

CARTES PIEZOMETRIQUES

Les cartes piézométriques regroupent les cartes d’isopièzes de l’entité représentatives des caractéristiques hydrogéologiques de ce système. Il s’agira : soit de piézométries moyennes issues d’un traitement d’un ensemble de données généralement d’années différentes permettant de représenter de manière globale le fonctionnement hydraulique du système, soit de piézométries « observées » issues d’opérations spécifiques s’appuyant sur des observations d’un ensemble de points d’eau en relation avec ce système présentées sous la forme de courbes. Dans le cadre du référentiel hydrogéologique, ces cartes piézométriques sont stockées sous forme d'images (raster) avec des métadonnées associées : Date, type de cartes, Origine,...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/CartesPiezometriques
CartesPiezometriques

Liste des propriétés:

L’année de réalisation de la carte piézométrique est l’année à laquelle la piézomètrie a été réalisée.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/AnneeRealCartePiezo
AnneeRealCartePiezo
L’année de réalisation de la carte piézométrique est l’année à laquelle la piézomètrie a été réalisée.
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Le mois de réalisation de la carte piézométrique est le mois à laquelle la piézomètrie a été réalisée.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/MoisCartePiezo
MoisCartePiezo
Le mois de réalisation de la carte piézométrique est le mois à laquelle la piézomètrie a été réalisée.
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L’origine de la carte piézométrique est un texte précisant l’auteur ou les auteurs de la piézométrie. Il peut s’agir soit d’un organisme, soit d’un auteur précis. Dans ce dernier cas, il est recommandé d’indiquer l’organisme auquel appartient (ou ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/OrigineCartePiezo
OrigineCartePiezo
L’origine de la carte piézométrique est un texte précisant l’auteur ou les auteurs de la piézométrie. Il peut s’agir soit d’un organisme, soit d’un auteur précis. Dans ce dernier cas, il est recommandé d’indiquer l’organisme auquel appartient (ou appartenait) le rédacteur.
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cct:TextType
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La modalité de réalisation de la carte piézométrique précise le type de carte représenté. La liste des valeurs possibles est la suivante : Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°355.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/ModalitesCartePiezo
ModalitesCartePiezo
La modalité de réalisation de la carte piézométrique précise le type de carte représenté. La liste des valeurs possibles est la suivante : Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°355.
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Le commentaire sur la carte piézométrique est un texte libre permettant de préciser toute information permettant une meilleure compréhension du schéma : limites d’utilisation, …

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/CommCartePiezo
CommCartePiezo
Le commentaire sur la carte piézométrique est un texte libre permettant de préciser toute information permettant une meilleure compréhension du schéma : limites d’utilisation, …
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La carte piézométrique est la représentation sous la forme d’une image de l’ensemble des courbes isopièzes. Il s’agit d’une numérisation image (scan) de l’information. Du point de vue du stockage, l’image sera conservée dans un format image TIF...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/ImageCartePiezo
ImageCartePiezo
La carte piézométrique est la représentation sous la forme d’une image de l’ensemble des courbes isopièzes. Il s’agit d’une numérisation image (scan) de l’information. Du point de vue du stockage, l’image sera conservée dans un format image TIFF compressé.
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Les conditions de réalisation décrivent les conditions dans lequel la carte piézométrique a été réalisée. Il s’agit notamment d’identifier d’éventuelles caractéristiques permettant d’évaluer au mieux la représentativité de la carte : par exemple, ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/ConditionsCartePiezo
ConditionsCartePiezo
Les conditions de réalisation décrivent les conditions dans lequel la carte piézométrique a été réalisée. Il s’agit notamment d’identifier d’éventuelles caractéristiques permettant d’évaluer au mieux la représentativité de la carte : par exemple, une piézométrie réalisée en Hautes Eaux Basses Eaux , moyenne, vives eaux, mortes eaux, ..
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COUPE ET LOG GEOLOGIQUE

Les coupes et log géologiques regroupent l'ensemble des schémas présentant une coupe ou un log relatif à l’entité hydrogéologique. Il est à noter qu’un schéma peut concerner plusieurs entités hydrogéologiques. Dans le cadre du référentiel hydrogéologique, ces cartes piézométriques sont stockées sous forme d'images (raster) avec des métadonnées associées : Date, type de cartes, Origine,...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/CoupeLogGeologique
CoupeLogGeologique

Liste des propriétés:

Le code du schéma en tant que coupe ou log de l'entité hydrogéologique est un numéro sans signifiance permettant d'identifier de manière unique le schéma. Une coupe et/ou un log pouvant s'appliquer à une ou plusieurs entités hydrogéologiques, ce...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/CdCoupeLogGeol
CdCoupeLogGeol
Le code du schéma en tant que coupe ou log de l'entité hydrogéologique est un numéro sans signifiance permettant d'identifier de manière unique le schéma. Une coupe et/ou un log pouvant s'appliquer à une ou plusieurs entités hydrogéologiques, ce code ne doit pas être construit en fonction du code de l'entité hydrogéologique. Le code est attribué par le BRGM.
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Année à laquelle a été publié le schéma. Ce champ est renseigné uniquement par l’année de publication, sans précision du mois et du jour de réalisation

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/AnneeCartePiezo
AnneeCartePiezo
Année à laquelle a été publié le schéma. Ce champ est renseigné uniquement par l’année de publication, sans précision du mois et du jour de réalisation
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cct:NumericType

Le type de schéma précise le type d’informations représentées. La liste des valeurs possibles est la suivante : Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°356.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/TypeCoupeLogGeol
TypeCoupeLogGeol
Le type de schéma précise le type d’informations représentées. La liste des valeurs possibles est la suivante : Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°356.
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Les modalités de réalisation de ce schéma précise les règles de réalisation du schéma. La liste des valeurs possibles est la suivante : Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°357.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/ModalitesCoupeLogGeol
ModalitesCoupeLogGeol
Les modalités de réalisation de ce schéma précise les règles de réalisation du schéma. La liste des valeurs possibles est la suivante : Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°357.
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Le commentaire sur la coupe / log est un texte libre permettant de préciser toute information permettant une meilleure compréhension du schéma : limites d’utilisation, …

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/CommCoupeLogGeol
CommCoupeLogGeol
Le commentaire sur la coupe / log est un texte libre permettant de préciser toute information permettant une meilleure compréhension du schéma : limites d’utilisation, …
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Le schéma de la coupe ou du log est la représentation sous la forme d’une image. Il s’agit d’une numérisation image (scan) de l’information. Une numérisation 300 DPI est requise. Du point de vue du stockage, l’image sera conservée dans un format ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/ImageCoupeLogGeol
ImageCoupeLogGeol
Le schéma de la coupe ou du log est la représentation sous la forme d’une image. Il s’agit d’une numérisation image (scan) de l’information. Une numérisation 300 DPI est requise. Du point de vue du stockage, l’image sera conservée dans un format image TIFF compressé.
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Liste des associations:

L’entité hydrogéologique est une partie de l’espace géologique, aquifère ou non aquifère, correspondant à un système physique caractérisé au regard de son état et de son comportement hydrogéologique. L’entité hydrogéologique doit être appréhendée...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/EntiteHydroGeol
EntiteHydroGeolConcerne
L’entité hydrogéologique est une partie de l’espace géologique, aquifère ou non aquifère, correspondant à un système physique caractérisé au regard de son état et de son comportement hydrogéologique. L’entité hydrogéologique doit être appréhendée au sens systémique et correspond à un découpage plus ou moins « artificiel » d’une réalité complexe. Le système peut se définir comme « Tout ensemble complexe dont on renonce à détailler la structure au-delà d’une schématisation nécessaire et suffisante pour analyser et exprimer les relations qu’il détermine entre entrées et sorties, considérées dans le temps et dans l’espace, suivant un degré de précision donné » [Dictionnaire Français d’Hydrogéologie]. D’une manière plus pratique, l’entité hydrogéologique correspond à une modélisation d’une réalité à un moment donné (avec les connaissances de cet instant). Sa représentation cartographique dans des outils cartographiques actuels entraîne une simplification de cette réalité, notamment les contours fixes de chaque entité. La constitution des entités hydrogéologiques est issue de la connaissance à instant donné du milieu souterrain. L’ensemble du territoire est décomposé en plusieurs entités hydrogéologiques assurant une « jointivité » horizontale et verticale des entités. Les entités hydrogéologiques ont été distinguées en trois niveaux : Les entités de premier niveau ou niveau national : un grand système aquifère, un grand domaine hydrogéologique, les entités de second niveau ou niveau régional : un domaine hydrogéologique, un système aquifère, les entités de 3ième niveau ou niveau local : une unité aquifère, une unité semi-perméable, une unité imperméable. Le concept d'entité hydrogéologique est décrit en détail dans le document SANDRE de description des données du référentiel hydrogéologique. Chaque entité possède un code qui est attribuée par le SANDRE. Chaque entité est décrite et validée par le comité national BD RHF Version 2. Les informations associées à une entité hydrogéologique sont : - les alias de l'entité - les cartes exploitées et couvertes par l'entité, - les entités au-dessus de l'entité, - l'entité mère de l'entité en cours (si l'entité n'est pas de niveau d'utilisation Nationale), - les cartes de structures et piézométriques, - la lithologie et la stratigraphie, - les relations avec les entrées et sorties d'eau, - les relations avec les cours d'eau et les plans d'eau.
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ENTITE HYDROGEOLOGIQUE

L’entité hydrogéologique est une partie de l’espace géologique, aquifère ou non aquifère, correspondant à un système physique caractérisé au regard de son état et de son comportement hydrogéologique. L’entité hydrogéologique doit être appréhendée au sens systémique et correspond à un découpage plus ou moins « artificiel » d’une réalité complexe. Le système peut se définir comme « Tout ensemble complexe dont on renonce à détailler la structure au-delà d’une schématisation nécessaire et suffisante pour analyser et exprimer les relations qu’il détermine entre entrées et sorties, considérées dans le temps et dans l’espace, suivant un degré de précision donné » [Dictionnaire Français d’Hydrogéologie]. D’une manière plus pratique, l’entité hydrogéologique correspond à une modélisation d’une réalité à un moment donné (avec les connaissances de cet instant). Sa représentation cartographique dans des outils cartographiques actuels entraîne une simplification de cette réalité, notamment les contours fixes de chaque entité. La constitution des entités hydrogéologiques est issue de la connaissance à instant donné du milieu souterrain. L’ensemble du territoire est décomposé en plusieurs entités hydrogéologiques assurant une « jointivité » horizontale et verticale des entités. Les entités hydrogéologiques ont été distinguées en trois niveaux : Les entités de premier niveau ou niveau national : un grand système aquifère, un grand domaine hydrogéologique, les entités de second niveau ou niveau régional : un domaine hydrogéologique, un système aquifère, les entités de 3ième niveau ou niveau local : une unité aquifère, une unité semi-perméable, une unité imperméable. Le concept d'entité hydrogéologique est décrit en détail dans le document SANDRE de description des données du référentiel hydrogéologique. Chaque entité possède un code qui est attribuée par le SANDRE. Chaque entité est décrite et validée par le comité national BD RHF Version 2. Les informations associées à une entité hydrogéologique sont : - les alias de l'entité - les cartes exploitées et couvertes par l'entité, - les entités au-dessus de l'entité, - l'entité mère de l'entité en cours (si l'entité n'est pas de niveau d'utilisation Nationale), - les cartes de structures et piézométriques, - la lithologie et la stratigraphie, - les relations avec les entrées et sorties d'eau, - les relations avec les cours d'eau et les plans d'eau.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/EntiteHydroGeol
EntiteHydroGeol

Liste des propriétés:

Le code de l'entité hydrogéologique est l'identifiant attribué à chaque entité hydrogéologique. La codification de la version 1 de la BD RHF était basée sur un code signifiant puisque des plages de valeurs autorisées avait été identifiées selon ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/CdEntiteHydroGeologique
CdEntiteHydroGeologique
Le code de l'entité hydrogéologique est l'identifiant attribué à chaque entité hydrogéologique. La codification de la version 1 de la BD RHF était basée sur un code signifiant puisque des plages de valeurs autorisées avait été identifiées selon la nature de l’entité hydrogéologique (J. MARGAT): 001 à 199 : grands systèmes aquifères à nappe essentiellement libre, 201 à 299 : grands systèmes aquifères captifs, 301 à 499 : zones alluviales dans les domaines sans grand système aquifère individualisé, 501 à 599 : domaines sans grand système aquifère individualisé, en terrains sédimentaires, 601 à 699 : domaines sans grand système indivualisé, en terrains de socle. Néanmoins, la reprise et l’amélioration du découpage initial de J. Margat par les agences de l’Eau ont entraîné des compléments de codification (ajout de sous-découpage, « a », « b »,…) et des dérives au regard de la règle de codification précédente. La codification de la version 1 n'est pas reprise et une nouvelle codification est réalisée pour l’ensemble des entités hydrogéologiques, même si l’entité avait été décrite dans la version 1. La codification des entités hydrogéologique est la suivante : « Le code de l’entité hydrogéologique est un identifiant construit selon la règle suivante (en italique, information optionnelle selon l’entité) : [Code numérique de l’entité de niveau 1] + [Lettre de l’entité de niveau 2] + [Code numérique de l’entité de niveau 3] Par exemple : un grand système aquifère sera codifié : 98 Le système aquifère est le suivant : 98A et le domaine hydrogéologique : 98B Les unités aquifères du premier système sont les suivants : 98A1 et 98A2 Lorsqu’il n’existe pas de découpage de niveau 2, le code de niveau 2 est remplacé par un tiret ‘-‘ (code ASCII 45). Par exemple, le code d’une unité aquifère incluse dans le grand domaine hydrogéologique de niveau 1 (55) est la suivante : 55-1. Chaque partie du code est créée sans signifiance et est instancée de manière incrémentielle. Il n’y pas de limites de longueur pour chaque partie, la longueur finale du code est de 12 caractères. La liste des entités hydrogéologiques est administrée par le SANDRE qui en a la responsabilité.
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cct:IdentifierType
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Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°390.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/StEntiteHydroGeol
StEntiteHydroGeol
Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°390.
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Mot ou ensemble de quelques mots composant l'appellation commune de l'entité hydrogéologique. Le libellé de l’entité hydrogéologique sera construit en indiquant la lithologie dominante de l’entité + la stratigraphie de l’entité + géographie locali...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/LbEntiteHydroGeol
LbEntiteHydroGeol
Mot ou ensemble de quelques mots composant l'appellation commune de l'entité hydrogéologique. Le libellé de l’entité hydrogéologique sera construit en indiquant la lithologie dominante de l’entité + la stratigraphie de l’entité + géographie localisant l’entité. Par exemple, calcaires oxfordiens DU BASSIN PARISIEN. Si l’une des informations est redondante (notamment entre la lithologie et la stratigraphie), seule l’une des données sera indiquée. Par exemple, « Massif volcanique du Velay / Monts-Devès . Lorsqu’une entité hydrogéologique sera caractérisée par plusieurs lithologies ou plusieurs stratigraphies (dont aucune ne prédomine), cette information ne sera pas indiquée dans le libellé de l’entité. Il s’agit notamment des grands domaines hydrogéologiques et domaines hydrogéologiques.
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cct:TextType
80

Le mnémonique de l’entité hydrogéologique est un libellé court de l’entité hydrogéologique. Ce libellé est limité à 25 caractères pour un usage dans des interfaces informatiques (écran, édition...).

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/MnEntiteHydroGeol
MnEntiteHydroGeol
Le mnémonique de l’entité hydrogéologique est un libellé court de l’entité hydrogéologique. Ce libellé est limité à 25 caractères pour un usage dans des interfaces informatiques (écran, édition...).
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1
cct:TextType
25

Les entités hydrogéologiques sont décomposées en 6 natures différentes. La liste des natures possibles, administrée par le SANDRE est la suivante : Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°86. La nature « Inconnue » n’est...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/NatureEntiteHydroGeol
NatureEntiteHydroGeol
Les entités hydrogéologiques sont décomposées en 6 natures différentes. La liste des natures possibles, administrée par le SANDRE est la suivante : Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°86. La nature « Inconnue » n’est pas autorisée
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cct:CodeType
1

Le thème de l’entité hydrogéologique est un regroupement par grands ensembles identifiés au niveau national. Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°348.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/ThemeEntiteHydroGeol
ThemeEntiteHydroGeol
Le thème de l’entité hydrogéologique est un regroupement par grands ensembles identifiés au niveau national. Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°348.
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1
cct:CodeType
1

Superficie en kilomètres-carrés de la surface projetée au sol des contours affleurants de l'entité hydrogéologique.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/SupAireAffEntiteHydroGeol
SupAireAffEntiteHydroGeol
Superficie en kilomètres-carrés de la surface projetée au sol des contours affleurants de l'entité hydrogéologique.
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cct:NumericType

Superficie en kilomètres-carrés de la surface projetée au sol des contours profonds de l'entité hydrogéologique. Cette information est complétée par la précision de la superficie sous couverture.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/SupAireCouvEntiteHydroGeol
SupAireCouvEntiteHydroGeol
Superficie en kilomètres-carrés de la surface projetée au sol des contours profonds de l'entité hydrogéologique. Cette information est complétée par la précision de la superficie sous couverture.
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1
cct:NumericType

Superficie en kilomètres-carrés de la surface projetée au sol des contours affleurants et profonds de l'entité hydrogéologique. Cette information est complétée par la précision de la superficie sous couverture.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/SupTotEntiteHydroGeol
SupTotEntiteHydroGeol
Superficie en kilomètres-carrés de la surface projetée au sol des contours affleurants et profonds de l'entité hydrogéologique. Cette information est complétée par la précision de la superficie sous couverture.
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cct:NumericType

La précision sur la superficie sous couverture précise la signification qui peut être attribué aux valeurs indiquées pour la superficie sous couverture : Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°349.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/PreSupEntiteHydroGeol
PreSupEntiteHydroGeol
La précision sur la superficie sous couverture précise la signification qui peut être attribué aux valeurs indiquées pour la superficie sous couverture : Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°349.
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La localisation géographique est un texte libre dans lequel l’auteur de la fiche présente les généralités géographiques relatives à l'entité hydrogéologique que ce soit sur ces parties affleurantes que sous-couvertures : la localisation globale en...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/LocGeoEntiteHydroGeol
LocGeoEntiteHydroGeol
La localisation géographique est un texte libre dans lequel l’auteur de la fiche présente les généralités géographiques relatives à l'entité hydrogéologique que ce soit sur ces parties affleurantes que sous-couvertures : la localisation globale en s’appuyant sur la toponymie décrite dans les référentiels cartographiques de l’IGN (cartes IGN), les principaux éléments topographiques (de surface) en connexion avec l’entité hydrogéologique. Les caractéristiques géologiques et hydrogéologiques sont décrites dans deux champs spécifiques.
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La synthèse géologique décrit les principales caractéristiques géologiques de l’entité hydrogéologique. Plus particulièrement, il sera indiqué : La nature et la lithologie des formations en présence (aquifères et non aquifères), le faciès, l’âge e...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/SyntheseGeolEntiteHydroGeol
SyntheseGeolEntiteHydroGeol
La synthèse géologique décrit les principales caractéristiques géologiques de l’entité hydrogéologique. Plus particulièrement, il sera indiqué : La nature et la lithologie des formations en présence (aquifères et non aquifères), le faciès, l’âge et les épaisseurs des principales formations géologiques constituant l’entité, le contexte structural de l'entité, l'agencement des différentes formations et leur pendage. La synthèse géologique ne traitera ni de l’extension géographique, ni des caractéristiques hydrogéologiques de l’entité. Un exemple de description : « Les garrigues calcaires jurassiques (143a) de Murviel-les-Montpellier, du Causse d’Aumelas et de la Montagne de la Moure, se situent en retrait par rapport à la structure chevauchante du pli de Montpellier Ouest. Ces formations karstiques s’ennoient plus vers l’Ouest sous les grès, marnes et argiles du Cétacé et Tertiaire du bassin de Villeveyrac à Pézenas au Nord, et de Mèze à Marseillan au Sud, puis sous l’étang de Thau. Ce vaste secteur captif (143a+) se prolonge également sous le bassin tertiaire de Montbazin-Gigean depuis Bouzigues et Balaruc-le-Vieux au Sud Ouest et jusqu’à Juvignac et Montpellier au Nord Est. Les mêmes formations calcaires et dolomitiques du Jurassique moyen et supérieur constituent l’ossature de la Montagne de la Gardiole (143c) également orientée Nord Est à Sud Ouest entre St-Jean-de-Védas et Balaruc-les-Bains, et celle du Mont Saint-Clair à Sète. (partie rattachée à l’unité 143c). Les secteurs sous couverture Mio-plio-quaternaire allant de Sète à Frontignan, et plus vers le Nord à Lattes et au Pont-Trinquat forment la partie captive de cet aquifère karstique en direction du littoral. Ces formations calcaires plongent très rapidement en direction des étangs et de la Mer, et le toit des calcaires se rencontre à plus de 500 ou 1000 m sous le rivage de la Méditerranée. » [BD RHF Agence de l’Eau RMC]
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La synthèse hydrogéologique décrit les principaux comportements hydrogéologiques de l’entité hydrogéologique. Plus particulièrement, il sera indiqué en différenciant, si nécessaire, la partie libre de la partie captive : la composition de l'entité...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/SyntheseHydrogeolEntiteHydroGeol
SyntheseHydrogeolEntiteHydroGeol
La synthèse hydrogéologique décrit les principaux comportements hydrogéologiques de l’entité hydrogéologique. Plus particulièrement, il sera indiqué en différenciant, si nécessaire, la partie libre de la partie captive : la composition de l'entité - les caractéristiques des formations aquifères, semi-perméables ou imperméables en présence, l'état de l’entité libre /captive et évolution dans l'espace, le fonctionnement de l'entité (alimentation naturelle, drainage et principaux exutoires naturels), les principaux paramètres hydrodynamiques caractéristiques en milieu homogène : perméabilité, transmissivité, coefficient d'emmagasinement (valeur moyenne et/ou valeurs minimales / maximales) la géométrie du réservoir, et sa recharge / drainance la vulnérabilité . Si possible, la synthèse hydrogéologique ne devra pas introduire des éléments géologiques présentés dans la synthèse géologique ni les aspects relatifs au fond géochimique de l’entité. Un exemple de synthèse hydrogéologique : « Les formations calcaires et dolomitiques du Jurassique moyen et supérieur dont l’épaisseur est supérieure à 200 m ont été affectées par les épisodes tectoniques qui ont donné naissance au pli de Montpellier déversé vers le Nord. Les deux structures nettement ou partiellement chevauchantes sont en avant de dépressions ou fossés comblés par des matériaux crétacés et plus récents. Les secteurs affleurants sont affectés par les processus de dissolution, qui donnent naissance en profondeur à un réseau de fissures élargies, de cavités et de chenaux ou conduits actifs en direction des émergences principales. Les débits de ces émergences sont variables, mais peuvent être très élevés en crues, de l’ordre de plusieurs m3/s. Les sources sont exploitées en retrait du littoral. Des forages profonds sollicitent le réservoir karstique en secteurs captifs. Ils sont artésiens avec des débits de plusieurs dizaines de m3/h. L’eau de ces forages est naturellement mieux protégée que celle des sources, plus à l’écart des risques de contamination.» [BD RHF Agence de l’Eau RMC]
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La butte temoin est une colonne isolée par l’érosion formée de sédiments horizontaux protégés par une couche resistante (Dictionnaire de géologie - Masson). Cette information indique si l’entité comporte des buttes-temoins. Dans ce cas, l’entité...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/ButtesEntiteHydroGeol
ButtesEntiteHydroGeol
La butte temoin est une colonne isolée par l’érosion formée de sédiments horizontaux protégés par une couche resistante (Dictionnaire de géologie - Masson). Cette information indique si l’entité comporte des buttes-temoins. Dans ce cas, l’entité est rattachée à une entité mère qui n’aura pas de représentation cartographique (mais une fiche descriptive).
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Le descriptif du fond géochimique naturel est un texte libre (200 mots environ) décrivant la répartition des éléments, et de leur comportement chimique dans l’entité hydrogéologique. Ce descriptif se limitera aux éléments chimiques naturels en dis...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/DescFondHydrogeochNaturel
DescFondHydrogeochNaturel
Le descriptif du fond géochimique naturel est un texte libre (200 mots environ) décrivant la répartition des éléments, et de leur comportement chimique dans l’entité hydrogéologique. Ce descriptif se limitera aux éléments chimiques naturels en distinguant : les éléments majeurs (dureté, chlorures, fer,…), les éléments mineurs et éléments traces, les isotopes Les éléments d’origine anthropiques sont à proscrire sauf lorsque cette intervention a modifié de manière pérenne le fond géochimique de l’entité hydrogéologique. Chaque élément connu sera décrit au minimum de manière qualitative et si possible avec des valeurs chiffrées (valeurs minimales, maximales et/ou moyennes). De plus, chaque élément devra être décrit pour l’ensemble de l’entité en indiquant si besoin les particularités locales (localisés par le code et le nom du point d’eau concerné). Afin d’éviter les confusions de terminologie dans les éléments, l’auteur s’appuiera sur le nom attribué par le SANDRE pour chaque paramètre (disponible sur le site Internet www.rnde.tm.fr rubrique SANDRE). Quelques exemples de descriptif : « Les eaux du Massif des Coirons sont peu minéralisées et relativement homogènes. Elles sont de type bicarbonaté­calcique. Les sources infra­basaltiques se distinguent par un enrichissement en ions Ca 2+ et HCO 3 ­. Celui­ci est cependant peu marqué d'une part à cause du faible temps de transit des eaux dans le substratum calcaire, et d'autre part à cause de la libération de calcium par lessivage des basaltes dans les sources inter­basaltiques et sous­basaltiques. Le fonds géochimique des Coirons est caractérisé par : Des teneurs en éléments majeurs faibles La quasi absence d'éléments traces en teneur significative (exception de l'antimoine). Une composition moyenne en isotopes stables de l'eau proche de celle des pluies Des teneurs en tritium comprises entre 7 et 15 UT c'est à dire proche de celles des pluies actuelles. » [ BRGM, Contribution à la caractérisation des états de référence géochimique des eaux souterraines] « La composition chimique des eaux résulte de la dissolution de l’ensemble des terrains traversés. D’une manière générale, les concentrations augmentent dans le sens du pendage des couches et à la suite du passage de l’aquifère sous couverture. Au Sud du bassin, les eaux souterraines présentent un faciès typiquement bicarbonaté calcique, la dureté étant comprise entre 25 et 30°F et le résidu sec de 300 à 400 mg/l. Plus au Nord, dans la zone de PONT-A-MOUSSON, on assiste à une augmentation de la minéralisation. Ces eaux se minéralisent sous couverture et prennent un faciès sulfaté - calcique et chloruré - sodique, avec de fortes concentrations en fer et en fluor. Le résidu sec est alors de 800 à 1000 mg/l, la teneur en sulfates étant comprise entre 180 et 250 mg/l, celle en chlorures de l’ordre de 160 mg/l. Plus au Nord et en l’absence de contaminations, les eaux, peu minéralisées (résidu sec de 250 à 400 mg/l), avec une dureté comprise entre 25 et 30°F, présentent aussi un faciès typiquement bicarbonaté calcique. Dans les secteurs miniers après arrêt des exhaures, l’accumulation d’eau dans les réservoirs souterrains a conduit progressivement à la mise en évidence d’un chimisme complexe et instable dans le temps. Elle se traduit par une augmentation de la minéralisation des eaux souterraines due à une solubilisation des sels sulfatés se formant par oxydation de la pyrite contenue dans les niveaux marneux (Marnes micacées et interbancs de l’Aalénien). A l’extrême, le titre hydrothimétrique peut atteindre 100 °F, le sodium jusqu’à 400 mg/l et les sulfates jusqu’à 3 g/l. Le lessivage de cette charge minéralisée peut durer entre 10 et 25 ans suivant le débit de renouvellement et l’importance des couches exploitées. Certains secteurs sous eau depuis longtemps sont déjà lessivés, d’autres sont en cours entraînant une lente baisse de la minéralisation. » [BD RHF V1 dans le bassin Rhin-Meuse]
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L'état de l'entité hydrogéologique est décrit à l'aide des codes énumérés ci-après : Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°350.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/EtatEntiteHydroGeol
EtatEntiteHydroGeol
L'état de l'entité hydrogéologique est décrit à l'aide des codes énumérés ci-après : Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°350.
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Les références bibliographiques doivent mentionner les sources documentaires ou autres (cartes) qui ont été utilisées pour la création ou la modification de l’entité hydrogéologique et apportant un complément d’information à la fiche descriptive. ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/RefBiblioEntiteHydroGeol
RefBiblioEntiteHydroGeol
Les références bibliographiques doivent mentionner les sources documentaires ou autres (cartes) qui ont été utilisées pour la création ou la modification de l’entité hydrogéologique et apportant un complément d’information à la fiche descriptive. La référence bibliographique contiendra le nom de l’ouvrage, l’auteur, le titre et si possible sa codification et l’origine de sa codification (BRGM, EauDOC,…)
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La date de création de l'entité hydrogéologique est la date exprimée au jour près à laquelle l'entité hydrogéologique a été enregistrée dans le référentiel national.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/DateCreationEntiteHydroGeol
DateCreationEntiteHydroGeol
La date de création de l'entité hydrogéologique est la date exprimée au jour près à laquelle l'entité hydrogéologique a été enregistrée dans le référentiel national.
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La date de mise à jour est la date exprimée au jour près à laquelle la fiche ou la représentation de l’entité hydrogéologique a été modifiée par un intervenant. Seule la date de la dernière mise à jour est conservée.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/DateModifEntiteHydroGeol
DateModifEntiteHydroGeol
La date de mise à jour est la date exprimée au jour près à laquelle la fiche ou la représentation de l’entité hydrogéologique a été modifiée par un intervenant. Seule la date de la dernière mise à jour est conservée.
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Informations précisant l’état actuel de connaissance de l’entité par les organismes La liste des valeurs possibles est définie dans la nomenclature n°351.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/NiveauConEntiteHydroGeol
NiveauConEntiteHydroGeol
Informations précisant l’état actuel de connaissance de l’entité par les organismes La liste des valeurs possibles est définie dans la nomenclature n°351.
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Liste des associations:

Le niveau de l’entité hydrogéologique définit le niveau d’utilisation recommandé de l’entité. Le groupe « Méthodologie » a défini trois principaux niveaux d’utilisation de la BD RHFV2 : Nationale (NV1), Régionale (NV2), Locale (NV3). Ces niveaux ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/NiveauUtilisationEntiteHydroGeol
NiveauUtilisationEntiteHydroGeol
Le niveau de l’entité hydrogéologique définit le niveau d’utilisation recommandé de l’entité. Le groupe « Méthodologie » a défini trois principaux niveaux d’utilisation de la BD RHFV2 : Nationale (NV1), Régionale (NV2), Locale (NV3). Ces niveaux « d’utilisation » reflètent les besoins très différents des futurs utilisateurs du référentiel national. Elles ne définissent pas uniquement les échelles de numérisation mais correspondent aussi à des échelles de représentation de l’information (concept d’agrégation de la base de données à différentes échelles,…). Afin d’éviter la confusion entre l’échelle d’utilisation et l’échelle de numérisation, il est préférable d’utiliser les termes suivants : La précision géométrique à chaque niveau d’utilisation, La gamme d’échelles d’utilisation, le contenu sémantique de chaque niveau d’utilisation. La liste des valeurs possibles, administrée par le SANDRE, est la suivante : Nomenclature : Niveau d'utilisation d'une entité hydrogéologique / SAQ / 2002 - 1 ---------------------------------------------------------------------- Code ! Mnémonique ! Libellé ---------------------------------------------------------------------- 1 ! NV1 ! Nationale 2 ! NV2 ! Régionale 3 ! NV3 ! Locale ---------------------------------------------------------------------- Locale : -------- L’échelle d’utilisation varie du 1/50 000ème au 1/150.000ème. Ce niveau est la représentation la plus fine du référentiel (1/50 000ème). Elle identifie l’ensemble des entités connues, en s’appuyant sur les deux niveaux précédents et en les complétant, dans certaines zones, par l’identification des unités aquifères locales. L’objectif est d’apporter une réponse à la connaissance du milieu souterrain pour les structures locales (département, SAGE…). Le référentiel hydrogéologique n’a pas vocation à décrire/localiser les structures ou les particularités non représentables au 1/50 000ème, qui est l’échelle retenue pour les autres référentiels du domaine de l’eau (BD CARTHAGE notamment). Leur existence peut cependant être mentionnée dans le commentaire (par exemple, des chenaux plus productifs dans des alluvions). Ces particularités / singularités, identifiées généralement lors de recherches liées à l’exploitation ou à la protection, sont des propriétés internes aux entités, dont la connaissance est nécessaire, mais dont la cartographie et la description détaillée ne font pas partie du référentiel. Celles-ci se trouvent dans d’autres documents et/ou bases de données, avec lesquels le code de l’entité assurera le lien (voir notamment IV-B-5, références bibliographiques). Nationale : ----------- La gamme d’échelle d’utilisation varie du 1/500 000ème au 1/1 000 000ème. Ce niveau doit permettre une représentation nationale, essentiellement descriptive, des grands ensembles hydrogéologiques (système et domaine) au regard de l’importance des critères physiques - superficie, perméabilité,… - et/ou en tant que ressource quantitative appréciable pour le niveau national. Les usages peuvent être multiples : - identification des grandes ressources en eau pour l’AEP, - alimentation des grands centres de population (accidents nucléaires, montée des eaux), - lien entre les fleuves et les nappes en cas de pollution majeure des grands fleuves nationaux, - aménagement du territoire à l’échelle nationale (Autoroute, TGV Est). Le niveau national de la BDRHF doit surtout être compris comme un outil de description des grandes ressources en eau souterraines de la France ( quelque en soit leur usage - effectif ou potentiel, AEP ou irrigation) et de communication grand public sur le thème très mal connu des eaux souterraines. Il ne s’agit pas à ce niveau de représentation d’un outil de travail pour spécialistes ; il doit par contre être pédagogique. Régionale : ----------- L’échelle d’utilisation varie du 1/500 000ème au 1/150.000ème. Ce niveau doit permettre une représentation régionale / bassin des entités hydrogéologiques (systèmes et domaine) à une échelle moyenne du 1/250 000ème selon les deux critères suivants : - Importance régionale de l’entité hydrogéologique au regard de son milieu - Enjeux quantitatifs et qualitatifs de l’entité. Dans certains cas, le niveau national sera repris. Dans d’autres, il sera nécessaire d’effectuer des subdivisions des grands ensembles nationaux (en fonction de notre connaissance). Fin de la nomenclature Attention de ne pas confondre Niveau d'utilisation et nature de l'entité hydrogéologique : Par exemple, un grand système peut se retrouver sur le référentiel national, régional et local. Au contraire, un grand système subdivisé au niveau régional sera associé à un seul niveau d’utilisation (il s’agit d’une information, qui permet de « pré-sélectionner » une représentation/extraction pour un usage. Rien n’empêche de mixer ces niveaux dans une représentation pour un usage particulier : par exemple, pour une carte régionale, de représenter le socle avec les entités de niveau national, et le sédimentaire avec le niveau régional, si c’est celui-ci qui est intéressant pour l’usage recherché).
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Le type de milieu permet de distinguer les principaux modes de circulation de l’eau. Les valeurs possibles, administrées par le SANDRE, sont les suivantes : Nomenclature : Type de milieu pour une entité hydrogéologique / SAQ / 2002 - 1 ---------...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/TypeMilAquifere
ModeCirculationMilieuAquifere
Le type de milieu permet de distinguer les principaux modes de circulation de l’eau. Les valeurs possibles, administrées par le SANDRE, sont les suivantes : Nomenclature : Type de milieu pour une entité hydrogéologique / SAQ / 2002 - 1 ---------------------------------------------------------------------- Code ! Mnémonique ! Libellé ---------------------------------------------------------------------- 0 ! Inconnu ! Inconnu 1 ! Poreux ! Milieu poreux 2 ! fissuré ! Milieu fissuré 3 ! karstique ! Milieu karstique ---------------------------------------------------------------------- Milieu fissuré : ---------------- Milieu discontinu affecté de surfaces de séparation, ne traversant pas le massif rendu perméable. Milieu karstique : ------------------ Milieu caractérisé par la présence dominante de roches carbonatées, par la rareté des écoulements superficiels, la présence de formes karstiques et par des sources à débit important. Milieu poreux : --------------- Milieu doté d’une porosité significative Fin de la nomenclature
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L’entité hydrogéologique est une partie de l’espace géologique, aquifère ou non aquifère, correspondant à un système physique caractérisé au regard de son état et de son comportement hydrogéologique. L’entité hydrogéologique doit être appréhendée...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/EntiteHydroGeol
EntiteHydroGeolMere
L’entité hydrogéologique est une partie de l’espace géologique, aquifère ou non aquifère, correspondant à un système physique caractérisé au regard de son état et de son comportement hydrogéologique. L’entité hydrogéologique doit être appréhendée au sens systémique et correspond à un découpage plus ou moins « artificiel » d’une réalité complexe. Le système peut se définir comme « Tout ensemble complexe dont on renonce à détailler la structure au-delà d’une schématisation nécessaire et suffisante pour analyser et exprimer les relations qu’il détermine entre entrées et sorties, considérées dans le temps et dans l’espace, suivant un degré de précision donné » [Dictionnaire Français d’Hydrogéologie]. D’une manière plus pratique, l’entité hydrogéologique correspond à une modélisation d’une réalité à un moment donné (avec les connaissances de cet instant). Sa représentation cartographique dans des outils cartographiques actuels entraîne une simplification de cette réalité, notamment les contours fixes de chaque entité. La constitution des entités hydrogéologiques est issue de la connaissance à instant donné du milieu souterrain. L’ensemble du territoire est décomposé en plusieurs entités hydrogéologiques assurant une « jointivité » horizontale et verticale des entités. Les entités hydrogéologiques ont été distinguées en trois niveaux : Les entités de premier niveau ou niveau national : un grand système aquifère, un grand domaine hydrogéologique, les entités de second niveau ou niveau régional : un domaine hydrogéologique, un système aquifère, les entités de 3ième niveau ou niveau local : une unité aquifère, une unité semi-perméable, une unité imperméable. Le concept d'entité hydrogéologique est décrit en détail dans le document SANDRE de description des données du référentiel hydrogéologique. Chaque entité possède un code qui est attribuée par le SANDRE. Chaque entité est décrite et validée par le comité national BD RHF Version 2. Les informations associées à une entité hydrogéologique sont : - les alias de l'entité - les cartes exploitées et couvertes par l'entité, - les entités au-dessus de l'entité, - l'entité mère de l'entité en cours (si l'entité n'est pas de niveau d'utilisation Nationale), - les cartes de structures et piézométriques, - la lithologie et la stratigraphie, - les relations avec les entrées et sorties d'eau, - les relations avec les cours d'eau et les plans d'eau.
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L’entité hydrogéologique est une partie de l’espace géologique, aquifère ou non aquifère, correspondant à un système physique caractérisé au regard de son état et de son comportement hydrogéologique. L’entité hydrogéologique doit être appréhendée...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/EntiteHydroGeol
EntiteHydroGeolAuDessus
L’entité hydrogéologique est une partie de l’espace géologique, aquifère ou non aquifère, correspondant à un système physique caractérisé au regard de son état et de son comportement hydrogéologique. L’entité hydrogéologique doit être appréhendée au sens systémique et correspond à un découpage plus ou moins « artificiel » d’une réalité complexe. Le système peut se définir comme « Tout ensemble complexe dont on renonce à détailler la structure au-delà d’une schématisation nécessaire et suffisante pour analyser et exprimer les relations qu’il détermine entre entrées et sorties, considérées dans le temps et dans l’espace, suivant un degré de précision donné » [Dictionnaire Français d’Hydrogéologie]. D’une manière plus pratique, l’entité hydrogéologique correspond à une modélisation d’une réalité à un moment donné (avec les connaissances de cet instant). Sa représentation cartographique dans des outils cartographiques actuels entraîne une simplification de cette réalité, notamment les contours fixes de chaque entité. La constitution des entités hydrogéologiques est issue de la connaissance à instant donné du milieu souterrain. L’ensemble du territoire est décomposé en plusieurs entités hydrogéologiques assurant une « jointivité » horizontale et verticale des entités. Les entités hydrogéologiques ont été distinguées en trois niveaux : Les entités de premier niveau ou niveau national : un grand système aquifère, un grand domaine hydrogéologique, les entités de second niveau ou niveau régional : un domaine hydrogéologique, un système aquifère, les entités de 3ième niveau ou niveau local : une unité aquifère, une unité semi-perméable, une unité imperméable. Le concept d'entité hydrogéologique est décrit en détail dans le document SANDRE de description des données du référentiel hydrogéologique. Chaque entité possède un code qui est attribuée par le SANDRE. Chaque entité est décrite et validée par le comité national BD RHF Version 2. Les informations associées à une entité hydrogéologique sont : - les alias de l'entité - les cartes exploitées et couvertes par l'entité, - les entités au-dessus de l'entité, - l'entité mère de l'entité en cours (si l'entité n'est pas de niveau d'utilisation Nationale), - les cartes de structures et piézométriques, - la lithologie et la stratigraphie, - les relations avec les entrées et sorties d'eau, - les relations avec les cours d'eau et les plans d'eau.
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Les entrées / sorties remarquables décrivent l’ensemble des points correspondant à des entrées ou à des exutoires en connexion directe avec l’entité. Il ne sera indiqué que les entrées / exutoires importants à la compréhension globale du référen...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/PointEauRemarquable
PointEauRemarquable
Les entrées / sorties remarquables décrivent l’ensemble des points correspondant à des entrées ou à des exutoires en connexion directe avec l’entité. Il ne sera indiqué que les entrées / exutoires importants à la compréhension globale du référentiel, notamment pour les entités hydrogéologiques présentant des karsts. Le référencement des entrées / sorties s'effectue via le point d'eau, identifié par le code national du point d'eau (code BSS).
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Le type lithologique est une nomenclature servant à qualifier des superficies d’affleurements pouvant atteindre plusieurs centaines ou milliers de km2. Elle se compose de 13 occurrences qui sont : Nomenclature : Type lithologique / PEZ / 2000 - 1...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/TypeLithologique
TypeLithoEntiteHydroGeol
Le type lithologique est une nomenclature servant à qualifier des superficies d’affleurements pouvant atteindre plusieurs centaines ou milliers de km2. Elle se compose de 13 occurrences qui sont : Nomenclature : Type lithologique / PEZ / 2000 - 1 ---------------------------------------------------------------------- Code ! Mnémonique ! Libellé ---------------------------------------------------------------------- 0 ! ! Type lithologique inconnu 1 ! ! Roches détritiques poreuses et/ou fissurées 2 ! ! Roches carbonatées cohérentes poreuses et/ou fissurées 3 ! ! Roches volcaniques poreuses 4 ! ! Roches carbonatées fissurées et/ou fracturées 5 ! ! Roches carbonatées karstifiées (sédimentaires ou métamorphiques) 6 ! ! Roches plutoniques fracturées 7 ! ! Roches volcaniques cohérentes et fracturées 8 ! ! Roches métamorphiques fracturées 9 ! ! Formations sédimentaires peu perméables 10 ! ! Roches sédimentaires très peu perméables 11 ! ! Roches métamorphiques compactes non fracturées 12 ! ! Roches volcaniques compactes non fracturées ---------------------------------------------------------------------- Fin de la nomenclature La liste des types lithologiques relève de la responsabilité du SANDRE.
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La lithologie est la nature des roches constituant une formation géologique, notamment les systèmes aquifères. Elle se décrit à l'aide de la nomenclature ci-après administrée par le SANDRE dont les définitions des éléments sont issues du dictionn...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/Lithologie
LithologieEntiteHydroGeol
La lithologie est la nature des roches constituant une formation géologique, notamment les systèmes aquifères. Elle se décrit à l'aide de la nomenclature ci-après administrée par le SANDRE dont les définitions des éléments sont issues du dictionnaire de géologie (A. Foucault et J.F. Raoult, 4e édition, 1996, MASSON) : Nomenclature : Lithologies / PEZ / 2000 - 1 ---------------------------------------------------------------------- Code ! Mnémonique ! Libellé ---------------------------------------------------------------------- 0 ! Lithologie inconnue ! Lithologie inconnue 1 ! Alluvions ! Alluvions 2 ! Alluvions caillouteuses ! Alluvions caillouteuses (galets, graviers, sables) 3 ! Alluvions graveleuses ! Alluvions graveleuses (graviers, sables) 4 ! Altérites ! Altérites 5 ! Andésite ! Andésite 6 ! Anhydrite ! Anhydrite 7 ! Arènes ! Arènes (granitiques ou gneissiques) 8 ! Argiles ! Argiles 9 ! Arkoses ! Arkoses 10 ! Basalte ! Basalte 11 ! Blocs ! Blocs 12 ! Calcaires ! Calcaires 13 ! Gelé (cf. 15) ! Gelé (cf. 15) 14 ! Calcaires dolomitiques ! Calcaires dolomitiques 15 ! Calcaires marneux ! Calcaires marneux 16 ! Calcschistes ! Calcschistes 17 ! Gelé (cf. 66) ! Gelé (cf. 66) 18 ! Gelé ! Gelé 19 ! Conglomérats compacts ! Conglomérats compacts 20 ! Craie ! Craie 21 ! Dacite ! Dacite 22 ! Diorite ! Diorite 23 ! Dolomies ! Dolomies 24 ! Gelé (cf. 79 ou 80) ! Gelé (cf. 79 ou 80) 25 ! Gabbro ! Gabbro 26 ! Galets (et cailloux) ! Galets (et cailloux) 27 ! Gneiss ! Gneiss 28 ! Granite ! Granite 29 ! Graviers ! Graviers 30 ! Grès ! Grès 31 ! Gypse ! Gypse 32 ! Houille ! Houille 33 ! Lapillis (ou pouzzolane) ! Lapillis (ou pouzzolane) 34 ! Latite ! Latite 35 ! Lignite ! Lignite 36 ! Limburgite ! Limburgite 37 ! Limons ! Limons 38 ! Loess ! Loess 39 ! Gelé (cf. 66) ! Gelé (cf. 66) 40 ! Marnes ! Marnes 41 ! Micaschiste ! Micaschiste 42 ! Molasse ! Molasse 43 ! Monzonite ! Monzonite 44 ! Moraines ! Moraines 45 ! Péridotite ! Péridotite 46 ! Phonolite ! Phonolite 47 ! Gelé (cf. 81) ! Gelé (cf. 81) 48 ! Gelé (cf. 77 ou 78) ! Gelé (cf. 77 ou 78) 49 ! Rhyolite ! Rhyolite 50 ! Sables argileux ! Sables argileux 51 ! Sables fins ! Sables fins 52 ! Sables grossiers ! Sables grossiers 53 ! Sables moyens ! Sables moyens 54 ! Schistes ! Schistes 55 ! Schistes cristallins ! Schistes cristallins 56 ! Halite(Sel Gemme) ! Halite(Sel Gemme) 57 ! Syénite ! Syénite 58 ! Syénite néphélinique ! Syénite néphélinique 59 ! Tonalite ! Tonalite 60 ! Tourbe ! Tourbe 61 ! Trachyte ! Trachyte 62 ! Gelé (cf. 64) ! Gelé (cf. 64) 63 ! Gelé ! Gelé 64 ! Tufs et travertin ! Tufs et travertin 65 ! Jaspes (phtanites) ! Jaspes (phtanites) 66 ! Marbres et/ou cipolins ! Marbres et/ou cipolins 67 ! Migmatites ! Migmatites 68 ! Sables ! Sables 69 ! Silt ! Silt 70 ! Craie marneuse ! Craie marneuse 71 ! Conglomérat ! Conglomérat (brèches ou poudingues) 72 ! Limon argileux ! Limon argileux 73 ! Vases consolidées ! Vases consolidées 74 ! Schistes bitumeux ! Schistes bitumeux 75 ! Falun (sable coquillier) ! Falun (sable coquillier) 76 ! Gaize ! Gaize 77 ! Quartzites (ortho) ! Quartzites (orthoquartzites) 78 ! Quartzites (méta) ! Quartzites (métaquartzites) 79 ! Flysh calcaire ! Flysh calcaire 80 ! Flysh argileux ! Flysh argileux 81 ! Sylvinite (Potasse) ! Sylvinite (Potasse) ---------------------------------------------------------------------- Alluvions : ----------- Sédiment des cours d’eau et des lacs composé, selon les régions traversées et la force du courant, de galets, de gravier et de sable en dépôts souvent lenticulaires, la fraction fine correspondant à des argiles et des limons. Les alluvions caillouteuses sont des alluvions contenant des galets. Alluvions caillouteuses (galets, graviers, sables) : ---------------------------------------------------- Les alluvions caillouteuses sont des alluvions (cf. alluvions) contenant des galets. Altérites : ----------- Formation superficielle résultant de l’altération et de la fragmentation sur place de roches antérieures sans transformations pédologiques notables. Andésite : ---------- Roche magmatique effusive, en général gris violacé clair (leucocrate), microlitique fluidale à verre peu abondant, souvent bulleuse à aspect finement scoriacé et à vacuoles remplies de cristobalite et tridymite ou secondairement de calcite blanche. Les andésites basiques donnent des coulées, celles plus acides sont moins fluides et donnent des aiguilles et des culots (volcanisme explosif fréquent). Anhydrite : ----------- Sulfate Ca SO4 du système orthorhombique, en cristaux tabulaires à 3 clivages orthogonaux (apparence de symétrie cubique) donnant deux faces à éclat vitreux ou nacré à fines stries parallèles, et une face non striée ; blanc, gris, bleuâtre ou rougeâtre. Arènes (granitiques ou gneissiques) : ------------------------------------- Sable grossier résultant de l’altération sur place de roches magmatiques ou métamorphiques riches en quartz et feldspath (en particulier granite ou gneiss). Argiles : --------- Terme désignant soit un minéral (minéral argileux) soit une roche composée pour l’essentiel de ces minéraux. Les roches argileuses sont des roches sédimentaires ou résiduelles à grain très fin (classe des lutites), contenant au moins 50 % de minéraux argileux, auxquels peuvent s’ajouter d’autres minéraux très divers, détritiques ou non, d’où des compositions très variées (argiles calcareuses, argiles sableuses, argiles micacées...). Arkoses : --------- Roche sédimentaire détritique terrigène contenant des grains de quartz (jusqu’à 60% environ) de feldspath, pour 25 % au moins, et fréquemment quelques micas. Basalte : --------- Roche magmatique effusive très commune, les basaltes, avec les andésites à pyroxène, constituant 95% des laves continentales et océaniques. Blocs : ------- Eléments rocheux, d’origine quelconque, dont la taille est de quelques centimètres à plusieurs mètres. Selon les classifications granulométriques retenues, un bloc aura un diamètre supérieur à 100, 200 ou 256 mm (la fraction la plus grossière des rudites). Calcaires : ----------- Roche sédimentaire carbonatée contenant au moins 50% de calcite Ca CO3, pouvant être accompagnée d’un peu de dolomite, d’aragonite, de sidérite. Les calcaires se classifient sur la base d’une nomenclature fondée sur leurs caractères les plus marquants : Calcaire pur : 100% à 95% de calcite et 5% maximum de dolomite Calcaire dolomitique : 10 à 50% de dolomite Calcaire marneux : 5 à 35% d’argile Marne : 35 à 65% d’argile Calcaires dolomitiques : ------------------------ Des calcaires argileux sont des calcaires (cf. calcaires) qui contiennent de 10 à 50% de dolomite. Calcaires marneux : ------------------- Des calcaires argileux sont des calcaires (cf. calcaires) qui contiennent de 5 à 35% d’argile. Calcschistes : -------------- Schiste du métamorphique général faible, riche en calcaire. Conglomérats compacts : ----------------------- Roche sédimentaire détritique formée pour 50% au moins de débris de roches de dimension supérieure à 2 millimètres (rudites) liés par un ciment (avec des éléments dont la taille est comprise entre 62,5µm et 2 mm, il s’agit de microconglomérats). Ce terme regroupe les brèches sédimentaires (à éléments en majorité anguleux), les poudingues (à éléments arrondis ou galets) et tous leurs intermédiaires. Craie : ------- Roche sédimentaire marine, calcaire (90% ou plus de Ca CO3), à grain très fin, blanche, poreuse, tendre et friable, traçante. Dacite : -------- Roche magmatique effusive, en général gris clair (leucocrate), microlitique avec verre abondant et phénocristaux de quartz automorphe, de plagioclase (andésine, parfois à liseré d’orthose) et de minéraux ferromagnésiens : biotites, hornblende ou pyroxène type hypersthène. Diorite : --------- Roche magmatique plutonique grenue, à éléments blanchâtres (leucocrate) et verdâtres ou noirâtres, essentiellement composée de plagioclases blanchâtres subautomorphes et d’amphibole verte, avec un peu de biotite. Dolomies : ---------- Roche sédimentaire carbonatée contenant 50% ou plus, de carbonate, dont la moitié au moins est sous forme de dolomite (Ca, Mg) (CO3) 2. Le terme englobe en pratique les dolomies pures (90 à 100% de dolomite) et les dolomies calcarifères ou calcareuses (50 à 90% de dolomite). Flysh argileux : ---------------- Formation sédimentaire détritique à dominante argileuse, souvent épaisse, composée essentiellement d'un empilement de turbidites, typiquement en concordance avec les couches sous-jacentes, et déposées dans une zone orogénique aujourd'hui tectonisée. Flysh calcaire : ---------------- Formation sédimentaire détritique à dominante calcaire, souvent épaisse, composée essentiellement d'un empilement de turbidites, typiquement en concordance avec les couches sous-jacentes, et déposées dans une zone orogénique aujourd'hui tectonisée. Gabbro : -------- Roche magmatique plutonique grenue, de teinte générale vert noirâtre, plus ou moins mouchetée de blanc (méso à mélanocrate), composée de plagioclase subautomorphe et de pyroxène interstitiel, secondairement de hornblende brune, d’olivine, de biotite. Gaize : ------- Roche sédimentaire siliceuse, en partie détritique et en partie d'origine chimique, en général grise à verdâtre, souvent poreuse et légère. Galets (et cailloux) : ---------------------- Cailloux arrondis par usure mécanique (éolienne, fluviatile, marine). Gelé : ------ Anciennement 'Conglomérats poreux ou fissurés' Gelé : ------ Gelé, Anciennement 'Tufs volcaniques' Gelé (cf. 15) : --------------- Gelé (cf. 15), anciennement 'Calcaires argileux' Gelé (cf. 66) : --------------- gelé (cf. 66) Gelé (cf. 77 ou 78) : --------------------- Gelé (cf. 77 ou 78), anciennement 'Quartzites' Gelé (cf. 79 ou 80) : --------------------- gelé (cf. 79 ou 80), anciennement 'Flysh' Gelé (cf. 81) : --------------- Gelé (cf. 81), anciennement 'Potasse' Gneiss : -------- Roche métamorphique du métamorphisme général, très commune, méso - à catazonale le plus souvent, à grain moyen ou grossier (du mm au cm), à foliation souvent nette caractérisée par des lits généralement de teinte sombre, riches en minéraux ferromagnésiens (micas, amphiboles, ...) alternant avec des lits clairs (blancs, gris, rosés) de quartz et de feldspaths, ces derniers nombreux et visibles à l’oeil nu. Granite : --------- Roche magmatique plutonique très commune, grenue, de teinte claire (blanche, grise, rosée, rouge, bleutée : hololeucocrate à leucocrate) avec les minéraux essentiels suivants, constituant 80% de la roche : quartz xénomorphe interstitiel, feldspath alcalin (orthose, microline), et plagioclase (albite, oligoclase) subautomorphe. Graviers : ---------- Eléments de quelques millimètres dans les roches sédimentaires détritiques (classe des rudites). Selon les classifications, les limites vont de 1 ou 2 millimètres à 15 ou à 30 mm, parfois plus. Grès : ------ Roche sédimentaire détritique terrigène composée à 85% au moins de grains de quartz plus ou moins arrondis, de 1/16 mm (62,5µm) à 2 mm (classe des arénites). Gypse : ------- Sulfate hydraté CaSO4, 2H2O, du système monoclinique, à clivages parfaits, à aspect vitreux translucide, nacré ou soyeux suivant les faces, en cristaux tabulaires ou lenticulaires (variétés à faces légèrement courbes, à impuretés de Na, Cl, ...) ; il montre fréquemment des macles simples, en fer de lance, en queue d'hirondelle ou queue d'aronde, il est incolore, blanc, jaunâtre à miel, parfois rougeâtre. Sa dureté est faible. A la flamme, il décrépite, blanchit et s'exfolie. Il est soluble dans l'eau (eaux séléniteuses impropres à la consommation). C'est un minéral fréquent dans les roches sédimentaires et c'est l'un des termes majeurs des évaporites. Halite(Sel Gemme) : ------------------- Chlorure NaCl présent sous la forme de gisements étendus dans des régions sédimentaires, exploitée notamment pour le sel de cuisine, les usages agricoles ou industriels... Houille : --------- Une des formes du charbon qui est le terme général désignant, au sens large, une roche sédimentaire stratifiée, servant de combustible, noire le plus souvent, organogène et essentiellement formée de débris végétaux. La houille au sens large contient 85% de carbone, d’aspect noir, mat ou brillant, tachant les doigts, avec, selon les proportions de matières volatiles (distillant à partir de 960°C) : - charbon flambant gras : plus de 33% de matières volatiles, - charbon gras : 20 à 33%, - charbon demi-gras : 12 à 20%, - charbon maigre : 8 à 12%. La houille au sens strict en contient 5% et on la nomme aussi, à tort, charbon bitumeux pour sa richesse en goudrons (qui ne sont pas des bitumes). Lapillis (ou pouzzolane) : -------------------------- Fragments de lave (élément pyroclastique) projetés par les volcans, à surface scoriacée ou non, et dont la taille est comprise entre 2 et 30 mm, ou entre 2 et 64 mm, selon la classification granulométrique retenue. L’accumulation de tels fragments, également nommée lapilli, ou pouzzolane, donne le plus souvent des couches meubles. Latite : -------- Variété de trachyandésite Lignite : --------- Variété de charbon. Limburgite : ------------ Variété de basanite. Limons : -------- Dépôt détritique meuble, argileux et silteux, à grain très fin (classes de lutites), continental et d’origine fluviatile, lagunaire ou encore éolienne (limons des plateaux, loess). Loess : ------- Dépôt sédimentaire détritique meuble, non stratifié, argilo-calcaire et silteux, à grain inférieur à 62,5 µm (classe de lutites), continental et d’origine éolienne. Ces dépôts, nommés aussi ‘limons des plateaux’, sont de nature périglaciaire. Marbres et/ou cipolins : ------------------------ Marbres : Roche métamorphique dérivant de calcaires ou de dolomies, par métamorphisme général ou de contact. Désigne également toute roche susceptible de prendre un beau poli, et d’être utilisée en décoration ; dans cette acception, le mot n’a pas de sens pétrographique précis (à ne pas utiliser). Cipolin : Calcaire métamorphique à minces veines de serpentine favorisant un débit en fines pelures (d’où leur nom). Au sens large, roches métamorphiques calcaires (calcaires cristallin) formée de cristaux de calcite enchevêtrés, à cassure saccharoïde (ressemblant à la cassure d'un morceau de sucre), donnant souvent des beaux marbres. Marnes : -------- Roche sédimentaire constituée d’un mélange de calcaire et d’argile (pour 35 à 65%), formant la transition entre les calcaires argileux (= calcaires marneux, avec 5 à 35% d’argile) et les argiles calcareuses (= marnes argileuses, avec 65 à 95% d’argile). Micaschiste : ------------- Roche métamorphique commune, épi- à méso-zonale, à grain généralement moyen, à schistosité et foliation marquée, riche en lamelles de mica visibles à l’oeil nu, d’où une structure lépidoblastique et un débit facile en plaquettes (quelques millimètres au centimètres) à surface brillante, claire ou sombre selon la couleur du micas. Les minéraux constitutifs sont les micas, très abondants (biotite et/ou muscovite), le quartz, en cristaux visible à l’oeil, dispersés ou groupés en mince lits discontinus, les feldspaths peu nombreux (<20%) et microscopiques (différence d’avec les gneiss) ; les autres minéraux possibles sont très variés (selon la richesse en Al2O3, Ca, ...), et sont souvent sous forme de porphyroblastes (d’où le nom de micaschiste à minéraux) avec : silicate d’alumine, staurotide, cordiérite, grenat, humite, trémolite, ... Les variétés sont désignées d’après les minéraux : micaschiste à andalousite, à grenat, ... micaschiste calcifère si la calcite abonde (souvent alors sous forme de cristaux engrenés donnant de minces lits clairs). Les micaschistes sont d’origine para, et dérivent d’argiles et de pélites (séquence pélitique) ou de pélites calcareuses. Molasse : --------- Formation sédimentaire détritique, épaisse, composée pour parties de couches turbiditiques mais aussi de couches terrigènes non turbiditiques (grès, conglomérats), déposée dans une zone orogénique en fin de tectonisation, et typiquement en discordance avec les couches sous-jacentes. Monzonite : ----------- Roche magmatique, grenue, leucocrate, qui est une syénite calco-alcaline avec autant d’orthose que de plagioclase (oligoclase surtout, ou andésite), et hornblende verte, augite, biotite, sphène, apatite, zircon. Moraines : ---------- Ensemble de pierres (blocs, cailloux, galets, sables y compris sables fins : 'farine glacière'...) entraînées par un glacier. Péridotite : ------------ Roche magmatique, grenue, jaune sombre huileux ou plus souvent vert noirâtre, holomélanocrate avec 90 à 100% de minéraux ferromagnésiens (roche ultrabasique ou roche ultramafique) avec olivine dominante accompagnée de pyroxène ou de spinelle (picotite, chromite), et parfois d’amphibole brune, de biotite, et de grenat. Phonolite : ----------- Roche magmatique effusive, grise verdâtre (leucocrate), à structure microlitique fluidale, à verre peu abondant, à débit en dalles sonores, à patine blanchâtre et cassure à éclat gras, avec feldspath (sadine, anorthose) et feldspathoïde : néphéline en petits cristaux seulement, parfois haüyne bleue, noséane jaunâtre ou leucite en phénocristaux, les ferromagnésiens sont l’aegyrine ou l’augite aegyrinique, parfois des amphiboles (hornblende brune, katophorite rouge) ; sphène, apatite, et zircon sont fréquents. Quartzites (métaquartzites) : ----------------------------- Quartzite métamorphique issu de la recristallisation d'un grès, parfois d'une radiolarite, ou encore d'un filon de quartz. Quartzites (orthoquartzites) : ------------------------------ Grès quartzeux ou quartzite sédimentaire exclusivement silicieux. Rhyolite : ---------- Roche magmatique effusive, riche en verre, de teinte claire (leucocrate), à microlites et phénocristaux rares : quartz souvent bipyramidé et corrodé (quartz rhyolitique), feldspath (ex. sanidine), amphibole et biotite. Sables argileux : ----------------- Au sens courant, matériau meuble formé de grains de quartz (grains de sable) tel celui des plages ou des dunes. Plus précisément, sédiment détritique meuble dont les grains sont en majorité compris entre 1/16 mm (62,5µm) et 2 mm (classe des arénites). La nomenclature fait intervenir le grain, et la nature des éléments dominants (sables quartzeux, calcaires...) ou d’éléments particuliers : sables feldspathiques, micacés, aurifères, diamantifères... Sables fins : ------------- Au sens courant, matériau meuble formé de grains de quartz (grains de sable) tel celui des plages ou des dunes. Plus précisément, sédiment détritique meuble dont les grains sont en majorité compris entre 1/16 mm (62,5µm) et 2 mm (classe des arénites). La nomenclature fait intervenir le grain, et la nature des éléments dominants (sables quartzeux, calcaires...) ou d’éléments particuliers : sables feldspathiques, micacés, aurifères, diamantifères... Sables grossiers : ------------------ Au sens courant, matériau meuble formé de grains de quartz (grains de sable) tel celui des plages ou des dunes. Plus précisément, sédiment détritique meuble dont les grains sont en majorité compris entre 1/16 mm (62,5µm) et 2 mm (classe des arénites). La nomenclature fait intervenir le grain, et la nature des éléments dominants (sables quartzeux, calcaires...) ou d’éléments particuliers : sables feldspathiques, micacés, aurifères, diamantifères... Sables moyens : --------------- Au sens courant, matériau meuble formé de grains de quartz (grains de sable) tel celui des plages ou des dunes. Plus précisément, sédiment détritique meuble dont les grains sont en majorité compris entre 1/16 mm (62,5µm) et 2 mm (classe des arénites). La nomenclature fait intervenir le grain, et la nature des éléments dominants (sables quartzeux, calcaires...) ou d’éléments particuliers : sables feldspathiques, micacés, aurifères, diamantifères... Schistes : ---------- Au sens large, toute roche susceptible de se débiter en feuillets. Ex. : les schistes houillers, qui sont souvent des pélites psammitiques. Au sens strict, roche ayant acquis une schistosité sous l’influence de contraintes tectoniques. Ces schistes sont caractérisés par un débit plus ou moins facile en feuillets, dû soit à une fracturation (schistosité de fracture), soit à une orientation des cristaux de la roche parallèlement à ces plans de clivage (schistosité de flux), et ce sont alors des roches métamorphiques. Schistes cristallins : ---------------------- Expression ancienne désignant l’ensemble des roches du métamorphisme général de la séquence pélitique, regroupant les schistes sériciteux ou chloriteux, les micaschistes et les gneiss. Syénite : --------- Roche magmatique grenue, blanchâtre, plus souvent rosée à rouge (hololeucocrate à leucocrate), avec comme minéral essentiel (>60%) du feldspath alcalin (orthose, anorthose, microline en général perthitique) qu’accompagne un peu de biotite (type lépidomélane souvent) et hornblende. Syénite néphélinique : ---------------------- Roche magmatique grenue, blanchâtre, grise, rosée (hololeucocrate à leucocrate), avec des feldspaths alcalins (souvent microcline perthitique) et des feldspathoïdes, néphéline le plus souvent (automorphe si abondant, xénomorphe et interstitielle si rare, et difficile alors à identifier), parfois sodalite, analcime, haüyne. Sylvinite (Potasse) : --------------------- Roche correspondant à un mélange intime de halite NaCl et de sylvite KCl. Tonalite : ---------- Variété de diorite quartzique. Tourbe : -------- Roche combustible légère, brunâtre, surtout formée de l’accumulation de mousses. Trachyte : ---------- Roche magmatique effusive, blanchâtre, grise, gris verdâtre (leucocrate), microlitique et fluidale (structure trachytique), peu ou pas porphyrique, souvent un peu poreuse et donc légère, constituée de sanidine (en microlites ou en phénocristaux limpides et craquelés) d’anorthose, d’albite, avec biotite et amphibole plus rares, à mésostase vitreuse ou cryptocristalline peu abondante. Tufs et travertin : ------------------- Tufs : Roche formée par accumulation de projections volcaniques en fragments de quelques millimètres (roche pyroclastique à lapillis dominants), pouvant contenir des blocs ou des cendres, et consolidée sous l’action de l’eau. Travertin : Roche sédimentaire calcaire continentale, à aspect concrétionné, plus ou moins vacuolaire, grise à jaunâtre, grossièrement litée. Les travertins se déposent aux émergences de certaines sources, et dans des cours d’eau peu profonds à petites cascades (précipitation des carbonates activée par les turbulences et la perte en CO2). Fin de la nomenclature
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Une entité hydrogéologique peut avoir un ou plusieurs noms d'usage employés localement. Il se distingue du libellé principal en ne se basant sur aucune règle de construction et en reprenant en intégralité le ou les noms d'usage.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/AliasEntiteHydrogeologique
AliasEntiteHydroGeol
Une entité hydrogéologique peut avoir un ou plusieurs noms d'usage employés localement. Il se distingue du libellé principal en ne se basant sur aucune règle de construction et en reprenant en intégralité le ou les noms d'usage.
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Les cartes piézométriques regroupent les cartes d’isopièzes de l’entité représentatives des caractéristiques hydrogéologiques de ce système. Il s’agira : soit de piézométries moyennes issues d’un traitement d’un ensemble de données généralement d’...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/CartesPiezometriques
CartePiezoEntiteHydroGeol
Les cartes piézométriques regroupent les cartes d’isopièzes de l’entité représentatives des caractéristiques hydrogéologiques de ce système. Il s’agira : soit de piézométries moyennes issues d’un traitement d’un ensemble de données généralement d’années différentes permettant de représenter de manière globale le fonctionnement hydraulique du système, soit de piézométries « observées » issues d’opérations spécifiques s’appuyant sur des observations d’un ensemble de points d’eau en relation avec ce système présentées sous la forme de courbes. Dans le cadre du référentiel hydrogéologique, ces cartes piézométriques sont stockées sous forme d'images (raster) avec des métadonnées associées : Date, type de cartes, Origine,...
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Les cartes géologiques détaillées éditées par le BRGM sont à l'échelle du 1/50 000 ème pour les éditions récentes qui couvrent actuellement plus de 90 % du territoire métropolitain. Elles sont disponibles sous format papier, scanné et vecteur (moi...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/CarteGeologique
CarteGeolCouverte
Les cartes géologiques détaillées éditées par le BRGM sont à l'échelle du 1/50 000 ème pour les éditions récentes qui couvrent actuellement plus de 90 % du territoire métropolitain. Elles sont disponibles sous format papier, scanné et vecteur (moins de 30%). Une série plus ancienne existe au 1/80 000, mais certaines coupures sont épuisées (disponibles seulement en reproduction photographique assez onéreuses). De ce fait, quelques portions du territoire ne sont couvertes par aucune carte géologique détaillée disponible. Une série plus synthétique au 1/250 000 existe (format papier et scanné), mais elle concerne moins de la moitié du territoire (Nord et Sud-Est). Cette série remplace une autre, épuisée, qui était à l'échelle du 1/320 000. A ces cartes, s'ajoutent parfois des cartes géologiques synthétiques à l'échelle du 1/250 000 ème.
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Le tronçon d'entité hydrographique en relation avec l'entité hydrogéologique décrit l’ensemble des tronçons d’entités hydrographiques en relation directe avec l’entité. Il ne sera indiqué que les cours d’eau ou plans d’eau important à la compréhe...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/TronconEntiteHydroGraEntiteHydroGeol
RelationAvecEntiteHydroGraphique
Le tronçon d'entité hydrographique en relation avec l'entité hydrogéologique décrit l’ensemble des tronçons d’entités hydrographiques en relation directe avec l’entité. Il ne sera indiqué que les cours d’eau ou plans d’eau important à la compréhension globale du référentiel. Le référencement d'un cours d'eau s'effectue via le code générique du cours d'eau (BD CarThAgE).
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Science qui étudie la succession des dépôts sédimentaires, généralement arrangés en couches (ou strates). Elle permet d'établir une chronologie stratigraphique relative, notamment par l'utilisation raisonnée de deux principes (dits principes de la...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/Stratigraphie
StratigraphieEntiteHydroGeol
Science qui étudie la succession des dépôts sédimentaires, généralement arrangés en couches (ou strates). Elle permet d'établir une chronologie stratigraphique relative, notamment par l'utilisation raisonnée de deux principes (dits principes de la stratigraphie) auxquels il ne faut pas donner une valeur d'axiome : 1 - le principe de continuité selon lequel une même couche a le même âge sur toute son étendue (mais cela n'est pas toujours vrai, en particulier lorsqu'il y a obliquité des faciès). 2 - le principe de superposition, selon lequel, de deux couches superposées, non renversées par la tectonique, la plus basse est la plus ancienne (mais cela n'est pas vrai dans le cas de filons sédimentaires, par exemple). De plus, le contenu en fossiles des couches permet d'effectuer des corrélations stratigraphiques à distance : c'est ici le rôle dévolu à la paléontologie stratigraphique. On aboutit ainsi à des divisions que l'on peut différencier selon la nature des arguments qui servent à les définir. On distingue habituellement : a - les divisions lithographiques fondées sur la nature des terrains, indépendamment de leur contenu en fossiles. La plus petite division est la couche, plusieurs couches formant un membre, plusieurs membres une formation, plusieurs formations un groupe. b - les divisions biostratigraphiques fondées sur le contenu en fossiles. La division de base est la biozone, diversement définie selon les possibilités (cénozone, ou zone d'assemblage, définie par un certain assemblage de fossiles ; acmé, définie par l'abondance particulière d'une espèce, ...). c - les divisions chronostratigraphiques caractérisées par des ensembles de couches auxquelles on fait correspondre des intervalles de temps (qui sont des divisions géochronologiques). La division de base est l'étage défini par rapport à un affleurement type, qui sert en quelque sorte d'étalon, et que l'on nomme stratotype. Le nom de l'étage est le plus souvent dérivé de celui d'un lieu géographique (actuel ou antique) auquel on ajoute le suffixe '-ien' (exemple : le Lutétien, l'Aquitanien). Ce lieu est généralement, mais pas obligatoirement, celui où se trouve le stratotype. L'équivalent géochronologique de l'étage est l'âge dont la durée, en moyenne est de 5 ou 6 millions d'années. Plusieurs étages forment une série (équivalent géochronologique : époque), plusieurs séries un système (équivalent période), plusieurs systèmes, un érathème (équivalent : ère), plusieurs erathèmes, un éonothème (équivalent éon). Des divisions plus petites que l'étage peuvent être utilisées : ce sont des chronozones (équivalent : chrone). Le terme de zone est parfois employé comme synonyme, mais désigne aussi une biozone. Source : A. Foucault, J.-F. Raoult (1996) Dictionnaire de géologie, 4eme Edition, MASSON, Paris Par extension, la stratigraphie est la description des unités stratigraphiques composant un objet géologique (par exemple un système aquifère). La liste des stratigraphies est administrée par le BRGM.
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Les coupes et log géologiques regroupent l'ensemble des schémas présentant une coupe ou un log relatif à l’entité hydrogéologique. Il est à noter qu’un schéma peut concerner plusieurs entités hydrogéologiques. Dans le cadre du référentiel hyd...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/CoupeLogGeologique
CoupeLogEntiteHydroGeol
Les coupes et log géologiques regroupent l'ensemble des schémas présentant une coupe ou un log relatif à l’entité hydrogéologique. Il est à noter qu’un schéma peut concerner plusieurs entités hydrogéologiques. Dans le cadre du référentiel hydrogéologique, ces cartes piézométriques sont stockées sous forme d'images (raster) avec des métadonnées associées : Date, type de cartes, Origine,...
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La structure spatiale de l’entité hydrogéologique est décrite sous forme de cartes de structures. Dans le cadre du référentiel hydrogéologique, ces cartes de structures sont stockées sous forme d'images (raster) avec des métadonnées associées : ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/CarteStructure
CarteStructureEntiteHydroGeol
La structure spatiale de l’entité hydrogéologique est décrite sous forme de cartes de structures. Dans le cadre du référentiel hydrogéologique, ces cartes de structures sont stockées sous forme d'images (raster) avec des métadonnées associées : Date, type de cartes de structures, Origine,... Les types de cartes de structures sont les suivants : Nomenclature : Carte de structure d'une entité hydrogéologique / SAQ / 2002 - 1 ---------------------------------------------------------------------- Code ! Mnémonique ! Libellé ---------------------------------------------------------------------- 1 ! Isohypse du toit ! Isohypse du toit 2 ! Isohypse du mur ! Isohypse du mur 3 ! Isopaques ! Isopaques 4 ! Autres cartes ! Autres cartes ---------------------------------------------------------------------- Autres cartes : --------------- Tous les autres types de cartes utiles à la compréhension de la structure de l’entité. Par exemple, limite de salinité, … Isohypse du mur : ----------------- Lieu des points d’égale altitude - courbe de niveau - du mur de l’entité [Dictionnaire français d’hydrogéologie] Isohypse du toit : ------------------ Lieu des points d’égale altitude - courbe de niveau - du toit de l’entité [Dictionnaire français d’hydrogéologie] Isopaques : ----------- Lieu de points d’égale épaisseur, mesurée verticalement, de l’entité hydrogéologique, c’est à dire d’égale différence d’altitude entre le mur et le toit de l’entité ou la surface libre de l’entité. [Dictionnaire français d’hydrogéologie] Fin de la nomenclature
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Les cartes géologiques détaillées éditées par le BRGM sont à l'échelle du 1/50 000 ème pour les éditions récentes qui couvrent actuellement plus de 90 % du territoire métropolitain. Elles sont disponibles sous format papier, scanné et vecteur (moi...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/CarteGeologique
CarteGeolExploitee
Les cartes géologiques détaillées éditées par le BRGM sont à l'échelle du 1/50 000 ème pour les éditions récentes qui couvrent actuellement plus de 90 % du territoire métropolitain. Elles sont disponibles sous format papier, scanné et vecteur (moins de 30%). Une série plus ancienne existe au 1/80 000, mais certaines coupures sont épuisées (disponibles seulement en reproduction photographique assez onéreuses). De ce fait, quelques portions du territoire ne sont couvertes par aucune carte géologique détaillée disponible. Une série plus synthétique au 1/250 000 existe (format papier et scanné), mais elle concerne moins de la moitié du territoire (Nord et Sud-Est). Cette série remplace une autre, épuisée, qui était à l'échelle du 1/320 000. A ces cartes, s'ajoutent parfois des cartes géologiques synthétiques à l'échelle du 1/250 000 ème.
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LITHOLOGIE

La lithologie est la nature des roches constituant une formation géologique, notamment les systèmes aquifères. Elle se décrit à l'aide de la nomenclature ci-après administrée par le SANDRE dont les définitions des éléments sont issues du dictionnaire de géologie (A. Foucault et J.F. Raoult, 4e édition, 1996, MASSON) : Nomenclature : Lithologies / PEZ / 2000 - 1 ---------------------------------------------------------------------- Code ! Mnémonique ! Libellé ---------------------------------------------------------------------- 0 ! Lithologie inconnue ! Lithologie inconnue 1 ! Alluvions ! Alluvions 2 ! Alluvions caillouteuses ! Alluvions caillouteuses (galets, graviers, sables) 3 ! Alluvions graveleuses ! Alluvions graveleuses (graviers, sables) 4 ! Altérites ! Altérites 5 ! Andésite ! Andésite 6 ! Anhydrite ! Anhydrite 7 ! Arènes ! Arènes (granitiques ou gneissiques) 8 ! Argiles ! Argiles 9 ! Arkoses ! Arkoses 10 ! Basalte ! Basalte 11 ! Blocs ! Blocs 12 ! Calcaires ! Calcaires 13 ! Gelé (cf. 15) ! Gelé (cf. 15) 14 ! Calcaires dolomitiques ! Calcaires dolomitiques 15 ! Calcaires marneux ! Calcaires marneux 16 ! Calcschistes ! Calcschistes 17 ! Gelé (cf. 66) ! Gelé (cf. 66) 18 ! Gelé ! Gelé 19 ! Conglomérats compacts ! Conglomérats compacts 20 ! Craie ! Craie 21 ! Dacite ! Dacite 22 ! Diorite ! Diorite 23 ! Dolomies ! Dolomies 24 ! Gelé (cf. 79 ou 80) ! Gelé (cf. 79 ou 80) 25 ! Gabbro ! Gabbro 26 ! Galets (et cailloux) ! Galets (et cailloux) 27 ! Gneiss ! Gneiss 28 ! Granite ! Granite 29 ! Graviers ! Graviers 30 ! Grès ! Grès 31 ! Gypse ! Gypse 32 ! Houille ! Houille 33 ! Lapillis (ou pouzzolane) ! Lapillis (ou pouzzolane) 34 ! Latite ! Latite 35 ! Lignite ! Lignite 36 ! Limburgite ! Limburgite 37 ! Limons ! Limons 38 ! Loess ! Loess 39 ! Gelé (cf. 66) ! Gelé (cf. 66) 40 ! Marnes ! Marnes 41 ! Micaschiste ! Micaschiste 42 ! Molasse ! Molasse 43 ! Monzonite ! Monzonite 44 ! Moraines ! Moraines 45 ! Péridotite ! Péridotite 46 ! Phonolite ! Phonolite 47 ! Gelé (cf. 81) ! Gelé (cf. 81) 48 ! Gelé (cf. 77 ou 78) ! Gelé (cf. 77 ou 78) 49 ! Rhyolite ! Rhyolite 50 ! Sables argileux ! Sables argileux 51 ! Sables fins ! Sables fins 52 ! Sables grossiers ! Sables grossiers 53 ! Sables moyens ! Sables moyens 54 ! Schistes ! Schistes 55 ! Schistes cristallins ! Schistes cristallins 56 ! Halite(Sel Gemme) ! Halite(Sel Gemme) 57 ! Syénite ! Syénite 58 ! Syénite néphélinique ! Syénite néphélinique 59 ! Tonalite ! Tonalite 60 ! Tourbe ! Tourbe 61 ! Trachyte ! Trachyte 62 ! Gelé (cf. 64) ! Gelé (cf. 64) 63 ! Gelé ! Gelé 64 ! Tufs et travertin ! Tufs et travertin 65 ! Jaspes (phtanites) ! Jaspes (phtanites) 66 ! Marbres et/ou cipolins ! Marbres et/ou cipolins 67 ! Migmatites ! Migmatites 68 ! Sables ! Sables 69 ! Silt ! Silt 70 ! Craie marneuse ! Craie marneuse 71 ! Conglomérat ! Conglomérat (brèches ou poudingues) 72 ! Limon argileux ! Limon argileux 73 ! Vases consolidées ! Vases consolidées 74 ! Schistes bitumeux ! Schistes bitumeux 75 ! Falun (sable coquillier) ! Falun (sable coquillier) 76 ! Gaize ! Gaize 77 ! Quartzites (ortho) ! Quartzites (orthoquartzites) 78 ! Quartzites (méta) ! Quartzites (métaquartzites) 79 ! Flysh calcaire ! Flysh calcaire 80 ! Flysh argileux ! Flysh argileux 81 ! Sylvinite (Potasse) ! Sylvinite (Potasse) ---------------------------------------------------------------------- Alluvions : ----------- Sédiment des cours d’eau et des lacs composé, selon les régions traversées et la force du courant, de galets, de gravier et de sable en dépôts souvent lenticulaires, la fraction fine correspondant à des argiles et des limons. Les alluvions caillouteuses sont des alluvions contenant des galets. Alluvions caillouteuses (galets, graviers, sables) : ---------------------------------------------------- Les alluvions caillouteuses sont des alluvions (cf. alluvions) contenant des galets. Altérites : ----------- Formation superficielle résultant de l’altération et de la fragmentation sur place de roches antérieures sans transformations pédologiques notables. Andésite : ---------- Roche magmatique effusive, en général gris violacé clair (leucocrate), microlitique fluidale à verre peu abondant, souvent bulleuse à aspect finement scoriacé et à vacuoles remplies de cristobalite et tridymite ou secondairement de calcite blanche. Les andésites basiques donnent des coulées, celles plus acides sont moins fluides et donnent des aiguilles et des culots (volcanisme explosif fréquent). Anhydrite : ----------- Sulfate Ca SO4 du système orthorhombique, en cristaux tabulaires à 3 clivages orthogonaux (apparence de symétrie cubique) donnant deux faces à éclat vitreux ou nacré à fines stries parallèles, et une face non striée ; blanc, gris, bleuâtre ou rougeâtre. Arènes (granitiques ou gneissiques) : ------------------------------------- Sable grossier résultant de l’altération sur place de roches magmatiques ou métamorphiques riches en quartz et feldspath (en particulier granite ou gneiss). Argiles : --------- Terme désignant soit un minéral (minéral argileux) soit une roche composée pour l’essentiel de ces minéraux. Les roches argileuses sont des roches sédimentaires ou résiduelles à grain très fin (classe des lutites), contenant au moins 50 % de minéraux argileux, auxquels peuvent s’ajouter d’autres minéraux très divers, détritiques ou non, d’où des compositions très variées (argiles calcareuses, argiles sableuses, argiles micacées...). Arkoses : --------- Roche sédimentaire détritique terrigène contenant des grains de quartz (jusqu’à 60% environ) de feldspath, pour 25 % au moins, et fréquemment quelques micas. Basalte : --------- Roche magmatique effusive très commune, les basaltes, avec les andésites à pyroxène, constituant 95% des laves continentales et océaniques. Blocs : ------- Eléments rocheux, d’origine quelconque, dont la taille est de quelques centimètres à plusieurs mètres. Selon les classifications granulométriques retenues, un bloc aura un diamètre supérieur à 100, 200 ou 256 mm (la fraction la plus grossière des rudites). Calcaires : ----------- Roche sédimentaire carbonatée contenant au moins 50% de calcite Ca CO3, pouvant être accompagnée d’un peu de dolomite, d’aragonite, de sidérite. Les calcaires se classifient sur la base d’une nomenclature fondée sur leurs caractères les plus marquants : Calcaire pur : 100% à 95% de calcite et 5% maximum de dolomite Calcaire dolomitique : 10 à 50% de dolomite Calcaire marneux : 5 à 35% d’argile Marne : 35 à 65% d’argile Calcaires dolomitiques : ------------------------ Des calcaires argileux sont des calcaires (cf. calcaires) qui contiennent de 10 à 50% de dolomite. Calcaires marneux : ------------------- Des calcaires argileux sont des calcaires (cf. calcaires) qui contiennent de 5 à 35% d’argile. Calcschistes : -------------- Schiste du métamorphique général faible, riche en calcaire. Conglomérats compacts : ----------------------- Roche sédimentaire détritique formée pour 50% au moins de débris de roches de dimension supérieure à 2 millimètres (rudites) liés par un ciment (avec des éléments dont la taille est comprise entre 62,5µm et 2 mm, il s’agit de microconglomérats). Ce terme regroupe les brèches sédimentaires (à éléments en majorité anguleux), les poudingues (à éléments arrondis ou galets) et tous leurs intermédiaires. Craie : ------- Roche sédimentaire marine, calcaire (90% ou plus de Ca CO3), à grain très fin, blanche, poreuse, tendre et friable, traçante. Dacite : -------- Roche magmatique effusive, en général gris clair (leucocrate), microlitique avec verre abondant et phénocristaux de quartz automorphe, de plagioclase (andésine, parfois à liseré d’orthose) et de minéraux ferromagnésiens : biotites, hornblende ou pyroxène type hypersthène. Diorite : --------- Roche magmatique plutonique grenue, à éléments blanchâtres (leucocrate) et verdâtres ou noirâtres, essentiellement composée de plagioclases blanchâtres subautomorphes et d’amphibole verte, avec un peu de biotite. Dolomies : ---------- Roche sédimentaire carbonatée contenant 50% ou plus, de carbonate, dont la moitié au moins est sous forme de dolomite (Ca, Mg) (CO3) 2. Le terme englobe en pratique les dolomies pures (90 à 100% de dolomite) et les dolomies calcarifères ou calcareuses (50 à 90% de dolomite). Flysh argileux : ---------------- Formation sédimentaire détritique à dominante argileuse, souvent épaisse, composée essentiellement d'un empilement de turbidites, typiquement en concordance avec les couches sous-jacentes, et déposées dans une zone orogénique aujourd'hui tectonisée. Flysh calcaire : ---------------- Formation sédimentaire détritique à dominante calcaire, souvent épaisse, composée essentiellement d'un empilement de turbidites, typiquement en concordance avec les couches sous-jacentes, et déposées dans une zone orogénique aujourd'hui tectonisée. Gabbro : -------- Roche magmatique plutonique grenue, de teinte générale vert noirâtre, plus ou moins mouchetée de blanc (méso à mélanocrate), composée de plagioclase subautomorphe et de pyroxène interstitiel, secondairement de hornblende brune, d’olivine, de biotite. Gaize : ------- Roche sédimentaire siliceuse, en partie détritique et en partie d'origine chimique, en général grise à verdâtre, souvent poreuse et légère. Galets (et cailloux) : ---------------------- Cailloux arrondis par usure mécanique (éolienne, fluviatile, marine). Gelé : ------ Anciennement 'Conglomérats poreux ou fissurés' Gelé : ------ Gelé, Anciennement 'Tufs volcaniques' Gelé (cf. 15) : --------------- Gelé (cf. 15), anciennement 'Calcaires argileux' Gelé (cf. 66) : --------------- gelé (cf. 66) Gelé (cf. 77 ou 78) : --------------------- Gelé (cf. 77 ou 78), anciennement 'Quartzites' Gelé (cf. 79 ou 80) : --------------------- gelé (cf. 79 ou 80), anciennement 'Flysh' Gelé (cf. 81) : --------------- Gelé (cf. 81), anciennement 'Potasse' Gneiss : -------- Roche métamorphique du métamorphisme général, très commune, méso - à catazonale le plus souvent, à grain moyen ou grossier (du mm au cm), à foliation souvent nette caractérisée par des lits généralement de teinte sombre, riches en minéraux ferromagnésiens (micas, amphiboles, ...) alternant avec des lits clairs (blancs, gris, rosés) de quartz et de feldspaths, ces derniers nombreux et visibles à l’oeil nu. Granite : --------- Roche magmatique plutonique très commune, grenue, de teinte claire (blanche, grise, rosée, rouge, bleutée : hololeucocrate à leucocrate) avec les minéraux essentiels suivants, constituant 80% de la roche : quartz xénomorphe interstitiel, feldspath alcalin (orthose, microline), et plagioclase (albite, oligoclase) subautomorphe. Graviers : ---------- Eléments de quelques millimètres dans les roches sédimentaires détritiques (classe des rudites). Selon les classifications, les limites vont de 1 ou 2 millimètres à 15 ou à 30 mm, parfois plus. Grès : ------ Roche sédimentaire détritique terrigène composée à 85% au moins de grains de quartz plus ou moins arrondis, de 1/16 mm (62,5µm) à 2 mm (classe des arénites). Gypse : ------- Sulfate hydraté CaSO4, 2H2O, du système monoclinique, à clivages parfaits, à aspect vitreux translucide, nacré ou soyeux suivant les faces, en cristaux tabulaires ou lenticulaires (variétés à faces légèrement courbes, à impuretés de Na, Cl, ...) ; il montre fréquemment des macles simples, en fer de lance, en queue d'hirondelle ou queue d'aronde, il est incolore, blanc, jaunâtre à miel, parfois rougeâtre. Sa dureté est faible. A la flamme, il décrépite, blanchit et s'exfolie. Il est soluble dans l'eau (eaux séléniteuses impropres à la consommation). C'est un minéral fréquent dans les roches sédimentaires et c'est l'un des termes majeurs des évaporites. Halite(Sel Gemme) : ------------------- Chlorure NaCl présent sous la forme de gisements étendus dans des régions sédimentaires, exploitée notamment pour le sel de cuisine, les usages agricoles ou industriels... Houille : --------- Une des formes du charbon qui est le terme général désignant, au sens large, une roche sédimentaire stratifiée, servant de combustible, noire le plus souvent, organogène et essentiellement formée de débris végétaux. La houille au sens large contient 85% de carbone, d’aspect noir, mat ou brillant, tachant les doigts, avec, selon les proportions de matières volatiles (distillant à partir de 960°C) : - charbon flambant gras : plus de 33% de matières volatiles, - charbon gras : 20 à 33%, - charbon demi-gras : 12 à 20%, - charbon maigre : 8 à 12%. La houille au sens strict en contient 5% et on la nomme aussi, à tort, charbon bitumeux pour sa richesse en goudrons (qui ne sont pas des bitumes). Lapillis (ou pouzzolane) : -------------------------- Fragments de lave (élément pyroclastique) projetés par les volcans, à surface scoriacée ou non, et dont la taille est comprise entre 2 et 30 mm, ou entre 2 et 64 mm, selon la classification granulométrique retenue. L’accumulation de tels fragments, également nommée lapilli, ou pouzzolane, donne le plus souvent des couches meubles. Latite : -------- Variété de trachyandésite Lignite : --------- Variété de charbon. Limburgite : ------------ Variété de basanite. Limons : -------- Dépôt détritique meuble, argileux et silteux, à grain très fin (classes de lutites), continental et d’origine fluviatile, lagunaire ou encore éolienne (limons des plateaux, loess). Loess : ------- Dépôt sédimentaire détritique meuble, non stratifié, argilo-calcaire et silteux, à grain inférieur à 62,5 µm (classe de lutites), continental et d’origine éolienne. Ces dépôts, nommés aussi ‘limons des plateaux’, sont de nature périglaciaire. Marbres et/ou cipolins : ------------------------ Marbres : Roche métamorphique dérivant de calcaires ou de dolomies, par métamorphisme général ou de contact. Désigne également toute roche susceptible de prendre un beau poli, et d’être utilisée en décoration ; dans cette acception, le mot n’a pas de sens pétrographique précis (à ne pas utiliser). Cipolin : Calcaire métamorphique à minces veines de serpentine favorisant un débit en fines pelures (d’où leur nom). Au sens large, roches métamorphiques calcaires (calcaires cristallin) formée de cristaux de calcite enchevêtrés, à cassure saccharoïde (ressemblant à la cassure d'un morceau de sucre), donnant souvent des beaux marbres. Marnes : -------- Roche sédimentaire constituée d’un mélange de calcaire et d’argile (pour 35 à 65%), formant la transition entre les calcaires argileux (= calcaires marneux, avec 5 à 35% d’argile) et les argiles calcareuses (= marnes argileuses, avec 65 à 95% d’argile). Micaschiste : ------------- Roche métamorphique commune, épi- à méso-zonale, à grain généralement moyen, à schistosité et foliation marquée, riche en lamelles de mica visibles à l’oeil nu, d’où une structure lépidoblastique et un débit facile en plaquettes (quelques millimètres au centimètres) à surface brillante, claire ou sombre selon la couleur du micas. Les minéraux constitutifs sont les micas, très abondants (biotite et/ou muscovite), le quartz, en cristaux visible à l’oeil, dispersés ou groupés en mince lits discontinus, les feldspaths peu nombreux (<20%) et microscopiques (différence d’avec les gneiss) ; les autres minéraux possibles sont très variés (selon la richesse en Al2O3, Ca, ...), et sont souvent sous forme de porphyroblastes (d’où le nom de micaschiste à minéraux) avec : silicate d’alumine, staurotide, cordiérite, grenat, humite, trémolite, ... Les variétés sont désignées d’après les minéraux : micaschiste à andalousite, à grenat, ... micaschiste calcifère si la calcite abonde (souvent alors sous forme de cristaux engrenés donnant de minces lits clairs). Les micaschistes sont d’origine para, et dérivent d’argiles et de pélites (séquence pélitique) ou de pélites calcareuses. Molasse : --------- Formation sédimentaire détritique, épaisse, composée pour parties de couches turbiditiques mais aussi de couches terrigènes non turbiditiques (grès, conglomérats), déposée dans une zone orogénique en fin de tectonisation, et typiquement en discordance avec les couches sous-jacentes. Monzonite : ----------- Roche magmatique, grenue, leucocrate, qui est une syénite calco-alcaline avec autant d’orthose que de plagioclase (oligoclase surtout, ou andésite), et hornblende verte, augite, biotite, sphène, apatite, zircon. Moraines : ---------- Ensemble de pierres (blocs, cailloux, galets, sables y compris sables fins : 'farine glacière'...) entraînées par un glacier. Péridotite : ------------ Roche magmatique, grenue, jaune sombre huileux ou plus souvent vert noirâtre, holomélanocrate avec 90 à 100% de minéraux ferromagnésiens (roche ultrabasique ou roche ultramafique) avec olivine dominante accompagnée de pyroxène ou de spinelle (picotite, chromite), et parfois d’amphibole brune, de biotite, et de grenat. Phonolite : ----------- Roche magmatique effusive, grise verdâtre (leucocrate), à structure microlitique fluidale, à verre peu abondant, à débit en dalles sonores, à patine blanchâtre et cassure à éclat gras, avec feldspath (sadine, anorthose) et feldspathoïde : néphéline en petits cristaux seulement, parfois haüyne bleue, noséane jaunâtre ou leucite en phénocristaux, les ferromagnésiens sont l’aegyrine ou l’augite aegyrinique, parfois des amphiboles (hornblende brune, katophorite rouge) ; sphène, apatite, et zircon sont fréquents. Quartzites (métaquartzites) : ----------------------------- Quartzite métamorphique issu de la recristallisation d'un grès, parfois d'une radiolarite, ou encore d'un filon de quartz. Quartzites (orthoquartzites) : ------------------------------ Grès quartzeux ou quartzite sédimentaire exclusivement silicieux. Rhyolite : ---------- Roche magmatique effusive, riche en verre, de teinte claire (leucocrate), à microlites et phénocristaux rares : quartz souvent bipyramidé et corrodé (quartz rhyolitique), feldspath (ex. sanidine), amphibole et biotite. Sables argileux : ----------------- Au sens courant, matériau meuble formé de grains de quartz (grains de sable) tel celui des plages ou des dunes. Plus précisément, sédiment détritique meuble dont les grains sont en majorité compris entre 1/16 mm (62,5µm) et 2 mm (classe des arénites). La nomenclature fait intervenir le grain, et la nature des éléments dominants (sables quartzeux, calcaires...) ou d’éléments particuliers : sables feldspathiques, micacés, aurifères, diamantifères... Sables fins : ------------- Au sens courant, matériau meuble formé de grains de quartz (grains de sable) tel celui des plages ou des dunes. Plus précisément, sédiment détritique meuble dont les grains sont en majorité compris entre 1/16 mm (62,5µm) et 2 mm (classe des arénites). La nomenclature fait intervenir le grain, et la nature des éléments dominants (sables quartzeux, calcaires...) ou d’éléments particuliers : sables feldspathiques, micacés, aurifères, diamantifères... Sables grossiers : ------------------ Au sens courant, matériau meuble formé de grains de quartz (grains de sable) tel celui des plages ou des dunes. Plus précisément, sédiment détritique meuble dont les grains sont en majorité compris entre 1/16 mm (62,5µm) et 2 mm (classe des arénites). La nomenclature fait intervenir le grain, et la nature des éléments dominants (sables quartzeux, calcaires...) ou d’éléments particuliers : sables feldspathiques, micacés, aurifères, diamantifères... Sables moyens : --------------- Au sens courant, matériau meuble formé de grains de quartz (grains de sable) tel celui des plages ou des dunes. Plus précisément, sédiment détritique meuble dont les grains sont en majorité compris entre 1/16 mm (62,5µm) et 2 mm (classe des arénites). La nomenclature fait intervenir le grain, et la nature des éléments dominants (sables quartzeux, calcaires...) ou d’éléments particuliers : sables feldspathiques, micacés, aurifères, diamantifères... Schistes : ---------- Au sens large, toute roche susceptible de se débiter en feuillets. Ex. : les schistes houillers, qui sont souvent des pélites psammitiques. Au sens strict, roche ayant acquis une schistosité sous l’influence de contraintes tectoniques. Ces schistes sont caractérisés par un débit plus ou moins facile en feuillets, dû soit à une fracturation (schistosité de fracture), soit à une orientation des cristaux de la roche parallèlement à ces plans de clivage (schistosité de flux), et ce sont alors des roches métamorphiques. Schistes cristallins : ---------------------- Expression ancienne désignant l’ensemble des roches du métamorphisme général de la séquence pélitique, regroupant les schistes sériciteux ou chloriteux, les micaschistes et les gneiss. Syénite : --------- Roche magmatique grenue, blanchâtre, plus souvent rosée à rouge (hololeucocrate à leucocrate), avec comme minéral essentiel (>60%) du feldspath alcalin (orthose, anorthose, microline en général perthitique) qu’accompagne un peu de biotite (type lépidomélane souvent) et hornblende. Syénite néphélinique : ---------------------- Roche magmatique grenue, blanchâtre, grise, rosée (hololeucocrate à leucocrate), avec des feldspaths alcalins (souvent microcline perthitique) et des feldspathoïdes, néphéline le plus souvent (automorphe si abondant, xénomorphe et interstitielle si rare, et difficile alors à identifier), parfois sodalite, analcime, haüyne. Sylvinite (Potasse) : --------------------- Roche correspondant à un mélange intime de halite NaCl et de sylvite KCl. Tonalite : ---------- Variété de diorite quartzique. Tourbe : -------- Roche combustible légère, brunâtre, surtout formée de l’accumulation de mousses. Trachyte : ---------- Roche magmatique effusive, blanchâtre, grise, gris verdâtre (leucocrate), microlitique et fluidale (structure trachytique), peu ou pas porphyrique, souvent un peu poreuse et donc légère, constituée de sanidine (en microlites ou en phénocristaux limpides et craquelés) d’anorthose, d’albite, avec biotite et amphibole plus rares, à mésostase vitreuse ou cryptocristalline peu abondante. Tufs et travertin : ------------------- Tufs : Roche formée par accumulation de projections volcaniques en fragments de quelques millimètres (roche pyroclastique à lapillis dominants), pouvant contenir des blocs ou des cendres, et consolidée sous l’action de l’eau. Travertin : Roche sédimentaire calcaire continentale, à aspect concrétionné, plus ou moins vacuolaire, grise à jaunâtre, grossièrement litée. Les travertins se déposent aux émergences de certaines sources, et dans des cours d’eau peu profonds à petites cascades (précipitation des carbonates activée par les turbulences et la perte en CO2). Fin de la nomenclature

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/Lithologie
Lithologie

Liste des propriétés:

Le code de la lithologie est le numéro affecté à chaque lithologie suivant la nomenclature suivante administrée par le SANDRE. Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°165.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/CdLithologie
CdLithologie
Le code de la lithologie est le numéro affecté à chaque lithologie suivant la nomenclature suivante administrée par le SANDRE. Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°165.
1
1
cct:CodeType
3

Le mnémonique de la lithologie est le libellé court sur 10 caractères décrivant une lithologie. Il est notamment utilisé pour les applications informatiques exigeant des longueurs de texte réduites (zone de liste, impression,…)

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/MnLithologie
MnLithologie
Le mnémonique de la lithologie est le libellé court sur 10 caractères décrivant une lithologie. Il est notamment utilisé pour les applications informatiques exigeant des longueurs de texte réduites (zone de liste, impression,…)
0
1
cct:TextType
10

Le libellé de la lithologie est l'appellation de chaque lithologie suivant la nomenclature suivante administrée par le SANDRE. Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°165.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/LbLithologie
LbLithologie
Le libellé de la lithologie est l'appellation de chaque lithologie suivant la nomenclature suivante administrée par le SANDRE. Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°165.
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1
cct:TextType
100

NIVEAU D'UTILISATION

Le niveau de l’entité hydrogéologique définit le niveau d’utilisation recommandé de l’entité. Le groupe « Méthodologie » a défini trois principaux niveaux d’utilisation de la BD RHFV2 : Nationale (NV1), Régionale (NV2), Locale (NV3). Ces niveaux « d’utilisation » reflètent les besoins très différents des futurs utilisateurs du référentiel national. Elles ne définissent pas uniquement les échelles de numérisation mais correspondent aussi à des échelles de représentation de l’information (concept d’agrégation de la base de données à différentes échelles,…). Afin d’éviter la confusion entre l’échelle d’utilisation et l’échelle de numérisation, il est préférable d’utiliser les termes suivants : La précision géométrique à chaque niveau d’utilisation, La gamme d’échelles d’utilisation, le contenu sémantique de chaque niveau d’utilisation. La liste des valeurs possibles, administrée par le SANDRE, est la suivante : Nomenclature : Niveau d'utilisation d'une entité hydrogéologique / SAQ / 2002 - 1 ---------------------------------------------------------------------- Code ! Mnémonique ! Libellé ---------------------------------------------------------------------- 1 ! NV1 ! Nationale 2 ! NV2 ! Régionale 3 ! NV3 ! Locale ---------------------------------------------------------------------- Locale : -------- L’échelle d’utilisation varie du 1/50 000ème au 1/150.000ème. Ce niveau est la représentation la plus fine du référentiel (1/50 000ème). Elle identifie l’ensemble des entités connues, en s’appuyant sur les deux niveaux précédents et en les complétant, dans certaines zones, par l’identification des unités aquifères locales. L’objectif est d’apporter une réponse à la connaissance du milieu souterrain pour les structures locales (département, SAGE…). Le référentiel hydrogéologique n’a pas vocation à décrire/localiser les structures ou les particularités non représentables au 1/50 000ème, qui est l’échelle retenue pour les autres référentiels du domaine de l’eau (BD CARTHAGE notamment). Leur existence peut cependant être mentionnée dans le commentaire (par exemple, des chenaux plus productifs dans des alluvions). Ces particularités / singularités, identifiées généralement lors de recherches liées à l’exploitation ou à la protection, sont des propriétés internes aux entités, dont la connaissance est nécessaire, mais dont la cartographie et la description détaillée ne font pas partie du référentiel. Celles-ci se trouvent dans d’autres documents et/ou bases de données, avec lesquels le code de l’entité assurera le lien (voir notamment IV-B-5, références bibliographiques). Nationale : ----------- La gamme d’échelle d’utilisation varie du 1/500 000ème au 1/1 000 000ème. Ce niveau doit permettre une représentation nationale, essentiellement descriptive, des grands ensembles hydrogéologiques (système et domaine) au regard de l’importance des critères physiques - superficie, perméabilité,… - et/ou en tant que ressource quantitative appréciable pour le niveau national. Les usages peuvent être multiples : - identification des grandes ressources en eau pour l’AEP, - alimentation des grands centres de population (accidents nucléaires, montée des eaux), - lien entre les fleuves et les nappes en cas de pollution majeure des grands fleuves nationaux, - aménagement du territoire à l’échelle nationale (Autoroute, TGV Est). Le niveau national de la BDRHF doit surtout être compris comme un outil de description des grandes ressources en eau souterraines de la France ( quelque en soit leur usage - effectif ou potentiel, AEP ou irrigation) et de communication grand public sur le thème très mal connu des eaux souterraines. Il ne s’agit pas à ce niveau de représentation d’un outil de travail pour spécialistes ; il doit par contre être pédagogique. Régionale : ----------- L’échelle d’utilisation varie du 1/500 000ème au 1/150.000ème. Ce niveau doit permettre une représentation régionale / bassin des entités hydrogéologiques (systèmes et domaine) à une échelle moyenne du 1/250 000ème selon les deux critères suivants : - Importance régionale de l’entité hydrogéologique au regard de son milieu - Enjeux quantitatifs et qualitatifs de l’entité. Dans certains cas, le niveau national sera repris. Dans d’autres, il sera nécessaire d’effectuer des subdivisions des grands ensembles nationaux (en fonction de notre connaissance). Fin de la nomenclature Attention de ne pas confondre Niveau d'utilisation et nature de l'entité hydrogéologique : Par exemple, un grand système peut se retrouver sur le référentiel national, régional et local. Au contraire, un grand système subdivisé au niveau régional sera associé à un seul niveau d’utilisation (il s’agit d’une information, qui permet de « pré-sélectionner » une représentation/extraction pour un usage. Rien n’empêche de mixer ces niveaux dans une représentation pour un usage particulier : par exemple, pour une carte régionale, de représenter le socle avec les entités de niveau national, et le sédimentaire avec le niveau régional, si c’est celui-ci qui est intéressant pour l’usage recherché).

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/NiveauUtilisationEntiteHydroGeol
NiveauUtilisationEntiteHydroGeol

Liste des propriétés:

Le code du niveau d'utilisation est l'identifiant SANDRE unique définissant les valeurs possibles pour un niveau d'utilisation d'une entité hydrogéologique. Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°352.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/CdNiveauUtEntiteHydroGeol
CdNiveauUtEntiteHydroGeol
Le code du niveau d'utilisation est l'identifiant SANDRE unique définissant les valeurs possibles pour un niveau d'utilisation d'une entité hydrogéologique. Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°352.
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Le mnémonique du niveau d'utilisation d'une entité hydrogéologique est un libellé court limité à 10 caractères du niveau d'utilisation. Il est notamment utilisé pour les applications informatiques exigeant des longueurs de texte réduites (zone de...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/MnNiveauUtEntiteHydroGeol
MnNiveauUtEntiteHydroGeol
Le mnémonique du niveau d'utilisation d'une entité hydrogéologique est un libellé court limité à 10 caractères du niveau d'utilisation. Il est notamment utilisé pour les applications informatiques exigeant des longueurs de texte réduites (zone de liste, impression,…)
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Le libellé du niveau d’utilisation est le texte explicite du niveau d’utilisation d’une entité hydrogéologique. A la différence du mnémonique, sa longueur permet d’indiquer une signifiance claire du concept sous-jacent. Nomenclature : Niveau d'...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/LbNiveauUtEntiteHydroGeol
LbNiveauUtEntiteHydroGeol
Le libellé du niveau d’utilisation est le texte explicite du niveau d’utilisation d’une entité hydrogéologique. A la différence du mnémonique, sa longueur permet d’indiquer une signifiance claire du concept sous-jacent. Nomenclature : Niveau d'utilisation d'une entité hydrogéologique / SAQ / 2002 - 1 ---------------------------------------------------------------------- Code ! Mnémonique ! Libellé ---------------------------------------------------------------------- 1 ! NV1 ! Nationale 2 ! NV2 ! Régionale 3 ! NV3 ! Locale ---------------------------------------------------------------------- Locale : -------- L’échelle d’utilisation varie du 1/50 000ème au 1/150.000ème. Ce niveau est la représentation la plus fine du référentiel (1/50 000ème). Elle identifie l’ensemble des entités connues, en s’appuyant sur les deux niveaux précédents et en les complétant, dans certaines zones, par l’identification des unités aquifères locales. L’objectif est d’apporter une réponse à la connaissance du milieu souterrain pour les structures locales (département, SAGE…). Le référentiel hydrogéologique n’a pas vocation à décrire/localiser les structures ou les particularités non représentables au 1/50 000ème, qui est l’échelle retenue pour les autres référentiels du domaine de l’eau (BD CARTHAGE notamment). Leur existence peut cependant être mentionnée dans le commentaire (par exemple, des chenaux plus productifs dans des alluvions). Ces particularités / singularités, identifiées généralement lors de recherches liées à l’exploitation ou à la protection, sont des propriétés internes aux entités, dont la connaissance est nécessaire, mais dont la cartographie et la description détaillée ne font pas partie du référentiel. Celles-ci se trouvent dans d’autres documents et/ou bases de données, avec lesquels le code de l’entité assurera le lien (voir notamment IV-B-5, références bibliographiques). Nationale : ----------- La gamme d’échelle d’utilisation varie du 1/500 000ème au 1/1 000 000ème. Ce niveau doit permettre une représentation nationale, essentiellement descriptive, des grands ensembles hydrogéologiques (système et domaine) au regard de l’importance des critères physiques - superficie, perméabilité,… - et/ou en tant que ressource quantitative appréciable pour le niveau national. Les usages peuvent être multiples : - identification des grandes ressources en eau pour l’AEP, - alimentation des grands centres de population (accidents nucléaires, montée des eaux), - lien entre les fleuves et les nappes en cas de pollution majeure des grands fleuves nationaux, - aménagement du territoire à l’échelle nationale (Autoroute, TGV Est). Le niveau national de la BDRHF doit surtout être compris comme un outil de description des grandes ressources en eau souterraines de la France ( quelque en soit leur usage - effectif ou potentiel, AEP ou irrigation) et de communication grand public sur le thème très mal connu des eaux souterraines. Il ne s’agit pas à ce niveau de représentation d’un outil de travail pour spécialistes ; il doit par contre être pédagogique. Régionale : ----------- L’échelle d’utilisation varie du 1/500 000ème au 1/150.000ème. Ce niveau doit permettre une représentation régionale / bassin des entités hydrogéologiques (systèmes et domaine) à une échelle moyenne du 1/250 000ème selon les deux critères suivants : - Importance régionale de l’entité hydrogéologique au regard de son milieu - Enjeux quantitatifs et qualitatifs de l’entité. Dans certains cas, le niveau national sera repris. Dans d’autres, il sera nécessaire d’effectuer des subdivisions des grands ensembles nationaux (en fonction de notre connaissance). Fin de la nomenclature
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cct:TextType
100

La définition du niveau d’utilisation décrit la signification de chaque occurrence attribuée par le SANDRE pour les différents niveaux d’utilisation.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/DfNiveauUtEntiteHydroGeol
DfNiveauUtEntiteHydroGeol
La définition du niveau d’utilisation décrit la signification de chaque occurrence attribuée par le SANDRE pour les différents niveaux d’utilisation.
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cct:TextType

Entrées/Sorties remarquables

Les entrées / sorties remarquables décrivent l’ensemble des points correspondant à des entrées ou à des exutoires en connexion directe avec l’entité. Il ne sera indiqué que les entrées / exutoires importants à la compréhension globale du référentiel, notamment pour les entités hydrogéologiques présentant des karsts. Le référencement des entrées / sorties s'effectue via le point d'eau, identifié par le code national du point d'eau (code BSS).

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/PointEauRemarquable
PointEauRemarquable

Liste des propriétés:

Le type de relation décrit s’il s’agit d’une entrée ou au contraire d’exutoires. La liste des valeurs possibles est définie dans la nomenclature n°358.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/TypeRelationsPointEauEntHydroGeol
TypeRelationsPointEauEntHydroGeol
Le type de relation décrit s’il s’agit d’une entrée ou au contraire d’exutoires. La liste des valeurs possibles est définie dans la nomenclature n°358.
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cct:CodeType
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Liste des associations:

Un point d'eau est un accès naturel (source) ou artificiel (forage, drain, puits…) aux eaux souterraines. Chaque point d'eau est doté d'un code national. Il s'agit du code du dossier du point d'eau au sein de la Banque du Sous-Sol (BSS). Il est c...

http://id.eaufrance.fr/ddd/PTE/1.0/PointEau
PointEau
Un point d'eau est un accès naturel (source) ou artificiel (forage, drain, puits…) aux eaux souterraines. Chaque point d'eau est doté d'un code national. Il s'agit du code du dossier du point d'eau au sein de la Banque du Sous-Sol (BSS). Il est constitué de la concaténation de l'indice BSS (10 caractères) et de la désignation BSS (6 caractères) séparé par un caractère "/". Cette dernière information s'applique toujours. Le code national peut-être complété, à titre d'information, des codes dits 'locaux', à savoir, le code interne du point d'eau chez le gestionnaire, chez le propriétaire du point d'eau… Chaque point d'eau est localisé par ses coordonnées géographiques dans le cadre d'un système de projection et rattaché à la commune sur le territoire de laquelle, il est situé. Les informations sur les points d'eau relèvent de la responsabilité des gestionnaires des différentes fonctions du point d'eau.
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1

REPRESENTATION DE L'ENTITE

Une entité hydrogéologique sera représentée par sa projection orthogonale au sol du volume réel. Si besoin, elle sera représentée par plusieurs polygones, notamment pour différencier sa partie affleurante de sa partie sous couverture. L’échelle de référence est le 1/50 000ième, c’est à dire l’échelle de précision « maximale » qui correspond aux principes généraux sur les référentiels nationaux. De plus, chaque arc de l’entité est caractérisé par une formation homogène sur toute sa longueur : la précision du contour définissant la précision géométrique du contour et le niveau de connaissance de cette dernière. Dès qu’une de ces informations change, l’arc géométrique est terminé par un nœud et un nouvel arc est créé comme le montre l’exemple ci-après.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/PolygoneEntiteHydroGeol
PolygoneEntiteHydroGeol

Liste des propriétés:

L’identifiant du polygone de l’entité hydrogéologique est un numéro sans signifiance unique pour chaque polygone constituant une entité hydrogéologique. Cet identifiant est automatiquement généré lors de la création des polygones graphiques.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/IdPolygoneEntiteHydroGeol
IdPolygoneEntiteHydroGeol
L’identifiant du polygone de l’entité hydrogéologique est un numéro sans signifiance unique pour chaque polygone constituant une entité hydrogéologique. Cet identifiant est automatiquement généré lors de la création des polygones graphiques.
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cct:NumericType

Le type de surface représenté décrit s'il s'agit d'un polygone représentant la partie affleurante de l'entité ou la partie sous couverture. La liste des valeurs possibles est la suivante : Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nom...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/TypeSurfaceEntiteHydroGeol
TypeSurfaceEntiteHydroGeol
Le type de surface représenté décrit s'il s'agit d'un polygone représentant la partie affleurante de l'entité ou la partie sous couverture. La liste des valeurs possibles est la suivante : Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°359.
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Liste des associations:

L’entité hydrogéologique est une partie de l’espace géologique, aquifère ou non aquifère, correspondant à un système physique caractérisé au regard de son état et de son comportement hydrogéologique. L’entité hydrogéologique doit être appréhendée...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/EntiteHydroGeol
EntiteHydroGeol
L’entité hydrogéologique est une partie de l’espace géologique, aquifère ou non aquifère, correspondant à un système physique caractérisé au regard de son état et de son comportement hydrogéologique. L’entité hydrogéologique doit être appréhendée au sens systémique et correspond à un découpage plus ou moins « artificiel » d’une réalité complexe. Le système peut se définir comme « Tout ensemble complexe dont on renonce à détailler la structure au-delà d’une schématisation nécessaire et suffisante pour analyser et exprimer les relations qu’il détermine entre entrées et sorties, considérées dans le temps et dans l’espace, suivant un degré de précision donné » [Dictionnaire Français d’Hydrogéologie]. D’une manière plus pratique, l’entité hydrogéologique correspond à une modélisation d’une réalité à un moment donné (avec les connaissances de cet instant). Sa représentation cartographique dans des outils cartographiques actuels entraîne une simplification de cette réalité, notamment les contours fixes de chaque entité. La constitution des entités hydrogéologiques est issue de la connaissance à instant donné du milieu souterrain. L’ensemble du territoire est décomposé en plusieurs entités hydrogéologiques assurant une « jointivité » horizontale et verticale des entités. Les entités hydrogéologiques ont été distinguées en trois niveaux : Les entités de premier niveau ou niveau national : un grand système aquifère, un grand domaine hydrogéologique, les entités de second niveau ou niveau régional : un domaine hydrogéologique, un système aquifère, les entités de 3ième niveau ou niveau local : une unité aquifère, une unité semi-perméable, une unité imperméable. Le concept d'entité hydrogéologique est décrit en détail dans le document SANDRE de description des données du référentiel hydrogéologique. Chaque entité possède un code qui est attribuée par le SANDRE. Chaque entité est décrite et validée par le comité national BD RHF Version 2. Les informations associées à une entité hydrogéologique sont : - les alias de l'entité - les cartes exploitées et couvertes par l'entité, - les entités au-dessus de l'entité, - l'entité mère de l'entité en cours (si l'entité n'est pas de niveau d'utilisation Nationale), - les cartes de structures et piézométriques, - la lithologie et la stratigraphie, - les relations avec les entrées et sorties d'eau, - les relations avec les cours d'eau et les plans d'eau.
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Polyligne constituant le polygone

Chaque arc du (ou des) polygones constituant l’entité hydrogéologique est caractérisé par une précision du contour sur toute sa longueur ET par sa relations hydrauliques latérales. La précision du contour définit la précision géométrique du contour et le niveau de connaissance de cette dernière. Les relations hydrauliques latérales ou quasi-latérales entre entités sont représentées cartographiquement uniquement pour les surfaces affleurantes - ou les polygones affleurants. Il s’agit d’une simplification puisque le contour de l’entité est confondu avec la limite hydraulique entre deux entités, ce qui est rarement le cas. Néanmoins, cette simplification permet d’organiser les données au sein d’un système d’information exploitable aisément. Dès qu’une de ces deux informations change, l’arc géométrique est terminé par un nœud et un nouvel arc est créé.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/PolylignePolygoneEntiteHydroGeol
PolylignePolygoneEntiteHydroGeol

Liste des propriétés:

L’identifiant de l'arc du polygone associé à unel’entité hydrogéologique est un numéro sans signifiance unique pour chaque arc constituant le polygone. Cet identifiant est automatiquement généré lors de la création des arcs graphiques.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/IdPolyligneEntiteHydroGeol
IdPolyligneEntiteHydroGeol
L’identifiant de l'arc du polygone associé à unel’entité hydrogéologique est un numéro sans signifiance unique pour chaque arc constituant le polygone. Cet identifiant est automatiquement généré lors de la création des arcs graphiques.
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Les relations hydrauliques latérales ou quasi-latérales entre entités sont représentées cartographiquement uniquement pour les surfaces affleurantes - ou les polygones affleurants - au travers d’un attribut indiqué pour chaque arc commun. Il s’agi...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/TypeLimitesHydrauliques
TypeLimitesHydrauliques
Les relations hydrauliques latérales ou quasi-latérales entre entités sont représentées cartographiquement uniquement pour les surfaces affleurantes - ou les polygones affleurants - au travers d’un attribut indiqué pour chaque arc commun. Il s’agit d’une simplification puisque le contour de l’entité est confondu avec la limite hydraulique entre deux entités, ce qui est rarement le cas. Néanmoins, cette simplification permet d’organiser les données au sein d’un système d’information exploitable aisément. Chaque arc de l’entité dont on connaît la relation hydraulique latérale avec son entité voisine possède donc une information complémentaire à celle décrite dans le IV.A (précision et niveau de connaissance). Dès qu’une de ces informations change, l’arc géométrique est terminé par un nœud et un nouvel arc est créé. La liste des valeurs possibles est la suivante : Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°360.
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Chaque arc du polygone de l’entité est caractérisé par une formation homogène sur toute sa longueur : la précision du contour définissant la précision géométrique du contour et le niveau de connaissance de cette dernière. La liste des valeurs po...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/PrecisionContourArc
PrecisionContourArc
Chaque arc du polygone de l’entité est caractérisé par une formation homogène sur toute sa longueur : la précision du contour définissant la précision géométrique du contour et le niveau de connaissance de cette dernière. La liste des valeurs possibles est la suivante : Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°361.
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Liste des associations:

Une entité hydrogéologique sera représentée par sa projection orthogonale au sol du volume réel. Si besoin, elle sera représentée par plusieurs polygones, notamment pour différencier sa partie affleurante de sa partie sous couverture. L’échelle de...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/PolygoneEntiteHydroGeol
PolygoneEntiteHydroGeol
Une entité hydrogéologique sera représentée par sa projection orthogonale au sol du volume réel. Si besoin, elle sera représentée par plusieurs polygones, notamment pour différencier sa partie affleurante de sa partie sous couverture. L’échelle de référence est le 1/50 000ième, c’est à dire l’échelle de précision « maximale » qui correspond aux principes généraux sur les référentiels nationaux. De plus, chaque arc de l’entité est caractérisé par une formation homogène sur toute sa longueur : la précision du contour définissant la précision géométrique du contour et le niveau de connaissance de cette dernière. Dès qu’une de ces informations change, l’arc géométrique est terminé par un nœud et un nouvel arc est créé comme le montre l’exemple ci-après.
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STRATIGRAPHIE

Science qui étudie la succession des dépôts sédimentaires, généralement arrangés en couches (ou strates). Elle permet d'établir une chronologie stratigraphique relative, notamment par l'utilisation raisonnée de deux principes (dits principes de la stratigraphie) auxquels il ne faut pas donner une valeur d'axiome : 1 - le principe de continuité selon lequel une même couche a le même âge sur toute son étendue (mais cela n'est pas toujours vrai, en particulier lorsqu'il y a obliquité des faciès). 2 - le principe de superposition, selon lequel, de deux couches superposées, non renversées par la tectonique, la plus basse est la plus ancienne (mais cela n'est pas vrai dans le cas de filons sédimentaires, par exemple). De plus, le contenu en fossiles des couches permet d'effectuer des corrélations stratigraphiques à distance : c'est ici le rôle dévolu à la paléontologie stratigraphique. On aboutit ainsi à des divisions que l'on peut différencier selon la nature des arguments qui servent à les définir. On distingue habituellement : a - les divisions lithographiques fondées sur la nature des terrains, indépendamment de leur contenu en fossiles. La plus petite division est la couche, plusieurs couches formant un membre, plusieurs membres une formation, plusieurs formations un groupe. b - les divisions biostratigraphiques fondées sur le contenu en fossiles. La division de base est la biozone, diversement définie selon les possibilités (cénozone, ou zone d'assemblage, définie par un certain assemblage de fossiles ; acmé, définie par l'abondance particulière d'une espèce, ...). c - les divisions chronostratigraphiques caractérisées par des ensembles de couches auxquelles on fait correspondre des intervalles de temps (qui sont des divisions géochronologiques). La division de base est l'étage défini par rapport à un affleurement type, qui sert en quelque sorte d'étalon, et que l'on nomme stratotype. Le nom de l'étage est le plus souvent dérivé de celui d'un lieu géographique (actuel ou antique) auquel on ajoute le suffixe '-ien' (exemple : le Lutétien, l'Aquitanien). Ce lieu est généralement, mais pas obligatoirement, celui où se trouve le stratotype. L'équivalent géochronologique de l'étage est l'âge dont la durée, en moyenne est de 5 ou 6 millions d'années. Plusieurs étages forment une série (équivalent géochronologique : époque), plusieurs séries un système (équivalent période), plusieurs systèmes, un érathème (équivalent : ère), plusieurs erathèmes, un éonothème (équivalent éon). Des divisions plus petites que l'étage peuvent être utilisées : ce sont des chronozones (équivalent : chrone). Le terme de zone est parfois employé comme synonyme, mais désigne aussi une biozone. Source : A. Foucault, J.-F. Raoult (1996) Dictionnaire de géologie, 4eme Edition, MASSON, Paris Par extension, la stratigraphie est la description des unités stratigraphiques composant un objet géologique (par exemple un système aquifère). La liste des stratigraphies est administrée par le BRGM.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/Stratigraphie
Stratigraphie

Liste des propriétés:

Le code de la stratigraphie est l'identifiant unique d'une stratigraphie. Le code de la stratigraphie est administré par le BRGM.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/CdStratigraphie
CdStratigraphie
Le code de la stratigraphie est l'identifiant unique d'une stratigraphie. Le code de la stratigraphie est administré par le BRGM.
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cct:IdentifierType
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Le libellé de la stratigraphie est l'appellation courante et explicite d'une stratigraphie. Ce libellé est attribué par le BRGM.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/LbStratigraphie
LbStratigraphie
Le libellé de la stratigraphie est l'appellation courante et explicite d'une stratigraphie. Ce libellé est attribué par le BRGM.
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cct:TextType
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TRONCON D'ENTITE EN RELATION AVEC UNE ENTITE HYDROGEOLOGIQUE

Le tronçon d'entité hydrographique en relation avec l'entité hydrogéologique décrit l’ensemble des tronçons d’entités hydrographiques en relation directe avec l’entité. Il ne sera indiqué que les cours d’eau ou plans d’eau important à la compréhension globale du référentiel. Le référencement d'un cours d'eau s'effectue via le code générique du cours d'eau (BD CarThAgE).

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/TronconEntiteHydroGraEntiteHydroGeol
TronconEntiteHydroGraEntiteHydroGeol

Liste des propriétés:

Le point kilométrique hydrographique (pk) permet de repérer un point sur le linéaire d'une entité. Au sens de la codification hydrographique, le point kilométrique 1000 étant pris pour origine, le pk d'un point est défini comme le complément à 100...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/PkAmontRelationHydroGraHydroGeo
PkAmontRelationHydroGraHydroGeo
Le point kilométrique hydrographique (pk) permet de repérer un point sur le linéaire d'une entité. Au sens de la codification hydrographique, le point kilométrique 1000 étant pris pour origine, le pk d'un point est défini comme le complément à 1000 km de la distance entre ce point et cette origine dans un référentiel cartographique donné. Le pk amont de la relation est le point amont de relation entre l'entité hydrographique et l'entité hydrogéologique.
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cct:NumericType

Le point kilométrique hydrographique (pk) permet de repérer un point sur le linéaire d'une entité. Au sens de la codification hydrographique, le point kilométrique 1000 étant pris pour origine, le pk d'un point est défini comme le complément à 100...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/PkAvalRelationHydroGraHydroGeo
PkAvalRelationHydroGraHydroGeo
Le point kilométrique hydrographique (pk) permet de repérer un point sur le linéaire d'une entité. Au sens de la codification hydrographique, le point kilométrique 1000 étant pris pour origine, le pk d'un point est défini comme le complément à 1000 km de la distance entre ce point et cette origine dans un référentiel cartographique donné. Le pk aval de la relation est le point aval de relation entre l'entité hydrographique et l'entité hydrogéologique.
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Liste des associations:

Le concept principal du découpage hydrographique est l’entité hydrographique définie par la circulaire n°91-50. L’entité hydrographique est un cours d’eau naturel ou aménagé, un bras naturel ou aménagé, une voie d’eau artificielle (canal,…), un p...

http://id.eaufrance.fr/ddd/ETH/2002-1/EntiteHydrographique
EntiteHydrographique
Le concept principal du découpage hydrographique est l’entité hydrographique définie par la circulaire n°91-50. L’entité hydrographique est un cours d’eau naturel ou aménagé, un bras naturel ou aménagé, une voie d’eau artificielle (canal,…), un plan d’eau ou une ligne littorale. La nature d’une entité hydrographique n’est pas constante sur toute l’entité. Par exemple, un cours d’eau naturel peut être aménagé sur une partie. Tous ces changements peuvent être indiqués en distinguant des sous-milieux sur l’entité. Les entités hydrographiques sont décomposées en deux types : - les entités hydrographiques linéaires ou cours d’eau, - les entités hydrographiques surfaciques correspondant aux plans d’eau et aux entités linéaires dont les zones larges (supérieures à 50 mètres) sont représentées par des éléments surfaciques. Une entité hydrographique surfacique peut être traversée par un cours d’eau, qui sera nommé cours d’eau principal. Chaque entité est identifiée par un code générique unique au niveau national. Ce code alphanumérique sur 8 positions est constitué de tirets et de caractères. Par exemple, un cours d'eau qui traverse plusieurs zones ou plusieurs sous-secteurs aura un code générique du format des codes génériques suivants 'V12-4000' ou 'R5--0420' (cf. ci-après pour la règle de construction). De plus, une entité hydrographique possède une dénomination dite principale. Règle de construction du code générique de l’entité hydrographique : A chaque entité hydrographique est attribué un numéro à 3 chiffres (5, 6 et 7ème caractères) unique pour le milieu et la ou les zones hydrographiques auxquels elle appartient : il s'agit du numéro de l'entité hydrographique. Une entité hydrographique appartenant à plusieurs zones conserve son numéro d'entité dans toutes les zones concernées. Deux entités hydrographiques d'un même milieu appartenant à deux sous-milieux différents auront des numéros d'entité distincts. Les quatre premiers caractères du code générique correspondent à l’ensemble des codes invariants des zones hydrographiques, le reste des caractères étant remplacé par des tirets '-'. Par exemple, le cours d’eau ' Viveronne ' a pour numéro de l’entité : 050 et pour code milieu : 0. Ce cours d’eau est situé à l’intérieur d’une seule zone hydrographique : P737. Son code générique est donc : P7370500 Le cours d’eau 'La Dronne' a pour numéro d’entité : 025 et pour code milieu : 0 . Ce cours d’eau traverse plusieurs zones hydrographiques (même plusieurs sous-secteurs ) : P746,P744, P742, P70, P734, P731, P730, P716, P715, P714, P711, P710, P702, P701, P700. Parmi ces codes, seuls les deux caractères sont invariants. Son code générique est donc : P7--0250 De manière similaire, la Garonne a pour numéro d’entité : 000 et pour code milieu : 0. Ce cours traverse plusieurs secteurs hydrographiques (tout commencant par “ 0 ”. Son code générique est : 0---00000 L'identification et la définition des entités hydrographiques relève de la responsabilité des Agences de l'Eau.
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TYPE LITHOLOGIQUE

Le type lithologique est une nomenclature servant à qualifier des superficies d’affleurements pouvant atteindre plusieurs centaines ou milliers de km2. Elle se compose de 13 occurrences qui sont : Nomenclature : Type lithologique / PEZ / 2000 - 1 ---------------------------------------------------------------------- Code ! Mnémonique ! Libellé ---------------------------------------------------------------------- 0 ! ! Type lithologique inconnu 1 ! ! Roches détritiques poreuses et/ou fissurées 2 ! ! Roches carbonatées cohérentes poreuses et/ou fissurées 3 ! ! Roches volcaniques poreuses 4 ! ! Roches carbonatées fissurées et/ou fracturées 5 ! ! Roches carbonatées karstifiées (sédimentaires ou métamorphiques) 6 ! ! Roches plutoniques fracturées 7 ! ! Roches volcaniques cohérentes et fracturées 8 ! ! Roches métamorphiques fracturées 9 ! ! Formations sédimentaires peu perméables 10 ! ! Roches sédimentaires très peu perméables 11 ! ! Roches métamorphiques compactes non fracturées 12 ! ! Roches volcaniques compactes non fracturées ---------------------------------------------------------------------- Fin de la nomenclature La liste des types lithologiques relève de la responsabilité du SANDRE.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/TypeLithologique
TypeLithologique

Liste des propriétés:

Le code du type lithologique est le code affecté à chaque type lithologique conformément à la nomenclature suivante administrée par le SANDRE. Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°166. La liste des types lithologique...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/CdTypeLithologique
CdTypeLithologique
Le code du type lithologique est le code affecté à chaque type lithologique conformément à la nomenclature suivante administrée par le SANDRE. Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°166. La liste des types lithologiques relève de la responsabilité du SANDRE.
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Le libellé du type lithologique est l'appellation de chaque type lithologique conformément à la nomenclature suivante administrée par le SANDRE. Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°166. La liste des types lithologiq...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/LbTypeLithologique
LbTypeLithologique
Le libellé du type lithologique est l'appellation de chaque type lithologique conformément à la nomenclature suivante administrée par le SANDRE. Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°166. La liste des types lithologiques relève de la responsabilité du SANDRE.
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TYPE DE MILIEU AQUIFERE

Le type de milieu permet de distinguer les principaux modes de circulation de l’eau. Les valeurs possibles, administrées par le SANDRE, sont les suivantes : Nomenclature : Type de milieu pour une entité hydrogéologique / SAQ / 2002 - 1 ---------------------------------------------------------------------- Code ! Mnémonique ! Libellé ---------------------------------------------------------------------- 0 ! Inconnu ! Inconnu 1 ! Poreux ! Milieu poreux 2 ! fissuré ! Milieu fissuré 3 ! karstique ! Milieu karstique ---------------------------------------------------------------------- Milieu fissuré : ---------------- Milieu discontinu affecté de surfaces de séparation, ne traversant pas le massif rendu perméable. Milieu karstique : ------------------ Milieu caractérisé par la présence dominante de roches carbonatées, par la rareté des écoulements superficiels, la présence de formes karstiques et par des sources à débit important. Milieu poreux : --------------- Milieu doté d’une porosité significative Fin de la nomenclature

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/TypeMilAquifere
TypeMilAquifere

Liste des propriétés:

Le code du type de milieu aquifère est l’identifiant unique permettant de définir un type de milieu. Les valeurs administrées par le SANDRE sont les suivantes : Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°353.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/CdTypeMilieuAquifere
CdTypeMilieuAquifere
Le code du type de milieu aquifère est l’identifiant unique permettant de définir un type de milieu. Les valeurs administrées par le SANDRE sont les suivantes : Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°353.
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Le mnémonique du type de milieu aquifère est le libellé court sur 10 caractères décrivant un type de milieu pour une entité hydrogéologique. Il est notamment utilisé pour les applications informatiques exigeant des longueurs de texte réduites (zo...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/MnTypeMilieuAquifere
MnTypeMilieuAquifere
Le mnémonique du type de milieu aquifère est le libellé court sur 10 caractères décrivant un type de milieu pour une entité hydrogéologique. Il est notamment utilisé pour les applications informatiques exigeant des longueurs de texte réduites (zone de liste, impression,…)
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Le libellé du type de milieu aquifère est l'appellation décrivant un type de milieu pour une entité hydrogéologique. A la différence du mnémonique, le libellé doit être explicite. Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/LbTypeMilieuAquifere
LbTypeMilieuAquifere
Le libellé du type de milieu aquifère est l'appellation décrivant un type de milieu pour une entité hydrogéologique. A la différence du mnémonique, le libellé doit être explicite. Les codes de valeurs possibles sont définis dans la nomenclature n°353.
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La définition du type de milieu aquifère décrit la signification possible d'une valeur SANDRE pour un type de milieu aquifère.

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/DfTypeMilieuAquifere
DfTypeMilieuAquifere
La définition du type de milieu aquifère décrit la signification possible d'une valeur SANDRE pour un type de milieu aquifère.
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